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Ecouter aussi la Sonate pour piano n°2 de Rachmaninov, par exemple par Ivo Pogorelich, saisissant sa poésie et sa fulgurance…

13juin

Pour poursuivre un peu l’élan de mon article d’avant-hier 11 juin «  » à propos de l’art de ce magnifique pianiste,

en particulier en la Sonate pour piano n°1 Op. 28 de Serge Rachmaninov,

et faute de disposer actuellement du CD Hyperion CDA 67936 comportant l’interprétation par Steven Osborne de la célèbre Sonate pour piano n°2, Op. 36,

je me suis tourné vers quelques unes des interprétations de cette fameuse Sonate n°2 présentes en les CDs de ma discothèque,

et suis tombé sous le charme saisissant de l’interprétation, fulgurante de vie et de poésie, en septembre 2018, à Raiding, dans le CD Sony 19075956602, d’Ivo Pogorelich…

Cf, déjà, à propos de ce CD publié par Sony en 2019, mon article du samedi 18 septembre 2019 « « …

Rachmaninov, oui,

un compositeur tout à fait marquant,

au moins en ses œuvres pour le piano…

Ce lundi 13 juin 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

De tout simplement merveilleuses Sonates pour piano de Mendelssohn (Fanny…), par Gaia Sokoli : une découverte éblouissante de poésie !

27jan

Une splendide découverte discographique : le CD « Piano Sonatas » de Fanny Mendelssohn (1805 – 1947),

par la pianiste _ italo-albanaise : née en Italie, elle vit à Milan _ Gaia Sokoli _ le CD Piano Classics PCL 10187.

Une interprétation tout simplement merveilleuse _ un coup de cœur de Vincent, le plus-que-parfait disquaire de Mollat-Musique…

Soit l’évidence même de la plus parfaite justesse de compréhension de cette musique si raffinée et fine en sa délicatesse, de Fanny Mendelssohn…


Et pour des Sonates composées de 1822
_ Fanny a alors dix-sept ans _ à 1843.

Et c’est sans surprise que le livret de ce CD nous apprend que l’interprète, idoine, parfaite, a pour producteur _ pour Musicafelix _ le magnifique Roberto Prosseda _ dont je collectionne passionnément les splendides interprétations discographiques mendelssohniennes ; cf mon enthousiaste article du 28 octobre 2018 :  ; après celui du 3 mars 2018 : _ :

le meilleur des interprètes _ voilà, rien moins que cela ! _ des œuvres pour piano de Felix Mendelssohn (1809 – 1847), le frère cadet de Fanny…

 Ce jeudi 27 janvier 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ecouter au vol quelques unes des Inventions (« cantabile ») de Johann-Sebastian Bach, par Tatiana Nikolayeva, au piano, en concert à Tokyo, en 1977

26août

En écoutant ce matin France-Musique sur mon autoradio,

en conduisant,

j’ai entendu quelques unes des Inventions de Johann-Sebastian Bach (BWV 772 à 786),

interprétées par Tatiana Nikolayeva, sur un piano,

en concert à Tokyo, en 1977…

Et c’est assez bien…

Pour une œuvre à vocation d’abord pédagogique…

En sa sobriété dénuée de sécheresse, en matière de « jeu cantabile« ,

selon l’objectif principal que lui assignait leur auteur même, à destination de son cher fils aîné Wilhelm-Friedmann…

Ce jeudi 26 août 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ainsi qu’un aperçu sur le parcours musical de la soeur de Théotime : Pauline Langlois de Swarte…

23juin

Mais il s’avère que l’environnement culturel qui a pu servir de fécond terreau musical à Théotime Langlois de Swarte est loin de se borner aux encouragements et exemples éminemment formateurs de sa mère, Bertille de Swarte, et de son frère aîné, Sylvain Sartre,

sans compter, aussi, bien sûr, le rôle qu’a pu jouer son père, le ténor et professeur de chant Hervé Langlois ;

il faut compter aussi avec l’exemple très proche de sa sœur Pauline Langlois de Swarte,

avec laquelle le jeune Théotime s’est produit très tôt en duo :

un duo de violon avec piano, ainsi que de violon avec clavecin…

Peut être une image de 1 personne et sourire

Sur la page Facebook de son groupe de chant Les Itinérantes, à la date du 6 mars 2017, apparaissait une intéressante amorce de CV de Pauline Langlois de Swarte,

que voici :

Pauline Langlois de Swarte

Pauline Langlois de Swarte commence la musique très tôt, à l’âge de 4 ans _ soit en 1998. D’abord passionnée par le piano, elle commence ensuite le clavecin, la viole de gambe, le chant et la danse. À l’âge de 7 ans et demi _ en juin 2003 _, elle obtient son premier rôle dans la comédie musicale Oliver Twist (Rôle titre) _ sous la direction musicale d’Hervé Langlois, son père, et dans une mise en scène de Bertille de Swarte, sa mère ; cf l’article de L’Indépendant de Perpignan du 23 juin 2003, intitulé Oliver Twist, une comédie musicale d’après Dickens _, et enchaînera par la suite de nombreux rôles dans les diverses productions de la maîtrise de l’Irvem, tout en se perfectionnant en technique vocale avec le phoniatre Benoît Amy de la Breteque.
Passionnée par le monde du spectacle, elle s’essaye pour la première fois à la direction artistique / mise en scène dans le spectacle The Ladybeetles _ en 2009 _ qu’elle conçoit à l’âge de 15 ans au sein de la maîtrise de l’Irvem.
Elle poursuit parallèlement ses études au conservatoire de Perpignan et obtient son DEM de piano, de solfège et de musique de chambre à l’âge de 16 ans, ainsi que l’UV d’accompagnement.
Elle intègre par la suite _ en 2012 _ l’école normale de musique de Paris en piano et musique de chambre, dont elle obtient le diplôme de 5ème exécution à 18 ans _ en 2014.
Elle intègre ensuite l’AICOM (Académie Internationale de comédie musicale) à l’âge de 20 ans, et commence également un travail de traductrice.

Aujourd’hui, elle est directrice de la section comédie musicale de la maîtrise de l’Irvem, ce qui lui a permis de monter _ en 2015 _ Les Misérables, une production semi-professionnelle au festival Été 66 à Perpignan, dans lequel elle assurait la direction artistique et le rôle d’Eponine. Elle réitère l’année suivante _ en 2016 _ avec Into the Woods, cette fois en s’occupant de l’adaptation française également, tout en reprenant le rôle de Cendrillon et de directrice artistique.
En 2017, elle projette de créer une compagnie professionnelle, et fait communiquer ses nombreuses passions dans divers projets artistiques.

J’ajoute à cette amorce de CV datant de 2017

que suivront deux autres comédies musicales sous la direction de Pauline Langlois de Swarte, avec l’IRVEM :

en 2018, Matilda ; et en 2020, Les Aventures d’Annie.

D’autre part,

Pauline Langlois de Swarte a créé _ avec deux autres remarquables chanteuses : Elodie Pont et Manon Cousin _ l’excellent trio vocal a capella Les Itinérantes.

Enfin, en duo violon/piano,

Pauline Langlois de Swarte et son frère Théotime se sont produits en concert :

par exemple,

le 16 juillet 2014, au Mas Reig, à Banyuls, en un programme Mozart, Debussy et Sarasate

_ cf cet article Un duo de charme au cœur des vignes

Ce mercredi 23 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Quelques utiles précisions sur les Gaudin de la branche d’Hasparren

06avr

Jusqu’ici,

dans la généalogie des Gaudin de Ciboure et Saint-Jean-de-Luz,

je m’étais principalement focalisé sur la branche Gaudin du 41 de la rue Gambetta à Saint-Jean-de Luz,

soient les ascendants et les descendants du couple formé, par leur mariage à Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875,

par St-Martin Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, rue Neuve n° 38, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 41 rue Gambetta, 28 décembre 1920)

et son épouse Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, Grand Rue n° 21, 28 avril 1845 – Saint-Jean-de-Luz, Rue du Midi, 21 novembre 1936).

La perspective de dénicher quelque inattendu document attestant de rencontres pianistiques entre Maurice Ravel et l’excellente pianiste qu’était Louise Schlaegel (Hasparren, 28 janvier 1850 – Hasparren, 19 août 1929), l’épouse _ à Hasparren, le 30 septembre 1874 _ du frère aîné de St-Martin-Edmond Gaudin, Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, rue Neuve, n° 39, 12 novembre 1841 – Saint-Jean-de-Luz, Grand Rue n° 4, 9 novembre 1897),

ainsi qu’avec cette autre excellente pianiste qu’était leur fille Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 9 décembre 1877 – Saint-Jean-de-Luz, 6 avril 1945) _ d’à peine deux ans plus jeune que Maurice Ravel, né le 7 mars 1875 à Ciboure : Maurice et Marie ont-ils eu l’occasion de se fréquenter à Saint-Jean-de-Luz ?… _,

m’amène à me pencher d’un peu plus près sur cette branche des Gaudin d’Hasparren _ l’officier d’origine alsacienne Jean-Claude Schlaegel (Lyon, 1798 – Hasparren, 17 décembre 1872), alors qu’il était en garnison avec son régiment à Bayonne, avait épousé à Hasparren le 23 avril 1849 Marie-Delphine Harriague (Bonloc, 1822 – Hasparren, 28 septembre 1868), dont il a eu 2 enfants : Jeanne-Marie-Françoise- Louise Schlaegel, le 28 janvier 1850, et Paul Schlaegel (Hasparren, 20 janvier 1851 – Cambo, 18 novembre 1919), prêtre… _ ;

grâce à ce lien généalogique.

Des 7 enfants de Charles Gaudin et Louise Schlaegel,

4 sont demeurés célibataires (dont un était prêtre, Jean _ Saint-Jean-de-Luz, 8 setembre 1882 – ?, 1940 _, et une autre était religieuse carmélite, Marie-Thérèse _ Hasparren, 2 décembre 1886 – Marseille, 20 août 1986 _),

parmi lesquels Marie (Saint-Jean-de-Luz, Rue Neuve n° 8, 9 décembre 1877 – Saint-Jean-de-Luz, 6 avril 1945) et Eugène (Hasparren, 5 septembre 1880 – tombé d’un train à Magnac-Sur-Touvre, Charente, le 1er avril 1921). 

Des 3 autres, qui ont pris épouse,

l’aîné Paul, né à Saint-Jean-de-Luz le 26 juillet 1875, marié à la navarraise (née à Vera de Bidasoa le 28 octobre 1881) Maria Salomé Inarra, à Hidalgo del Parral (Chihuaha, Mexique), le 19 juin 1902,

n’a pas eu de descendance ;

le 5e de la fratrie, Marcel (Hasparren, 4 septembre 1884 – Orthez, 24 novembre 1859), marié à la mexicaine (baptisée à Hidalgo del Parral le 14 août 1885) Concha Legarda, a eu 3 enfants :

_ Carlitos Gaudin (né à El Paso, Texas, le 29 août 1914 – ?,?), qui épousera Monika Seevonn) : le couple a eu 3 enfants, Dominic, Lilona et Victor Gaudin ;

_ Jacques Gaudin (né à Saint-Jean-de-Luz le 6 janvier 1916, et qui décèdera à Pau le 22 septembre 1993), qui épousera la béarnaise Simone Lassale-Calès (née à Orthez le 17 avril 1926, et qui décèdera à Pau le 15 avril 1917) : le couple a eu 4 enfants, Françoise, Philippe, Jean-Marie et Marie-Hélène Gaudin ; 

et _ Juliette (Lilita) Gaudin (née à Saint-Jean-de-Luz, le 1er janvier 1918 – ?,?), qui épousera John Howland) : le coule a 3 enfants : Paul, Jock et Perry Howland ;

et le 7e et dernier de cette fratrie des enfants de Charles Gaudin et Louisa Schlaegel, est Henri Gaudin (Hasparren, 12 septembre 1889 – Saint-Jean-de-Luz, 6 août 1953), marié à Jeanne-Marguerite-Marie Draper, ou Drapié, ou Drapé (née à Port-Vendres le 26 juin 1890, et décédée à Saint-Jean-de-Luz le 20 juin 1969 ;

le couple a eu une fille, Henriette-Marie-Thérèse Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 9 juillet 1924 – Saint-Jean-de-Luz, 1er novembre 2009), qui épousera Henri Louis Aguillon (Laruns – Les-Eaux-Chaudes, 30 août 1920 – Versailles 6 août 2015), présent à Londres dès le 3 juillet 1940 _ Henri Aguillon avait pris, à Saint-Jean-de-Luz, le 21 juin 1940, le premier bateau en partance vers l’Angleterre, le « Batory« . 

Le couple de Henri Aguillon et Henriette Gaudin auront 7 enfants :

Paul, Danielle, Françoise, Jean, Catherine, Maïté et Pierre Aguillon.  

Dans la magnifique Correspondance de Maurice Ravel publiée à ce jour par les soins de l’excellent Manuel Cornejo, n’existe pas, à ma connaissance, de lettre échangée avec aucun des membres de cette famille Gaudin – Schlaegel, de la branche devenue celle des Gaudin d’Hasparren.

Cependant, dans la lettre (n° 35, à la page 82) datée du 16 octobre 1902 à Jane Gaudin (au 41 rue Gambetta, à Saint-Jean-de-Luz),

l’adresse des « souvenirs affectueux à tous » de Maurice Ravel, assortie de la précision : « (comprenez dans ce tous la famille de votre tante et les Hiriart) sans oublier Mme Bibal et ma chère tante Gachuch« se réfère à la famille d’une tante de Jane :

la famille d’une tante

ou bien du coté Gaudin (d’Edmond Gaudin, le père de Jane) : il s’agit alors de la famille de Louise Schlaegel, veuve de Charles Gaudin, le frère aîné de St-Martin Edmond Gaudin, et de leurs enfants ;

ou bien du côté Bibal (d’Annette Bibal, la mère de Jane) : il s’agit alors de la famille de Dorotea Iburuzqueta, veuve de Pascal Bibal, le frère cadet d’Annette Bibal, et de leurs enfants.

Certains des membres de la famille issue de Charles Gaudin et de l’haspandar Louise Schlaegel, partent s’installer, au moins jusqu’en 1915 _ ils vont revenir en France pour accomplir leurs obligations militaires durant la Grande Guerre _, au Mexique, à Hidalgo del Parral, dans l’Etat de Chihuahua ;

et certains des membres de la famille issue de Pascal Bibal et de la guipuzcoane de Zarautz Dorotea Iburuzqueta, partent s’installer à Cuba, à La Havane _ où ils feront fortune.

Je m’étais précédemment interrogé sur ces diverses références, si importantes, de cette lettre du 16 octobre 1902 à Jane Gaudin :

la marraine et grand-tante Gachucha, de Maurice, mourra deux mois et un jour plus tard : le 17 décembre 1902, au 41 rue Gambetta… 

Relire aussi le bien utile article du 2 novembre 2019 :

Ce mardi 6 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

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