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Relecture avec révisions de l’article « A la recherche de liens, en Algérie, à partir de 1896, entre les Ducos du Hauron et diverses autres familles : les Rey, les Ducros, les Gadel, les Gentet (ainsi que les Bure)… » du 23 décembre 2020

08nov

L’article du 23 décembre 2020  que je m’apprête maintenant à réviser,

constitue un incontestable tournant dans l’aventure de mes recherches focaliséees sur le bien intéressant environnement familial _ et tout spécialement ses trois neveux : Amédée Ducos du Hauron, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ de Louis Ducos du Hauron (Langon, 8 décembre 1837 – Agen, 31 août 1920),

car il va détourner un peu ma recherche d’Agen,

au profit de l’aventure « algérienne » tout particulièrement de l’aîné de ces trois neveux de Louis :

Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) ;

et cela suite à la nomination d’Alcide (Coutras, 1830 – Savigny-sur-Orge, 1909) à un poste de magistrat en Algérie, en 1881.

Alcide étant bientôt rejoint, à Alger, au mois de juillet 1883, par son épouse Cézarine-Marie (Le Temple-sur-Lot, 1841 – Agen, 1923), leurs quatre enfants, Amédée (Agen, 1867 – Alger, 1935), Gaston (Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912), Marguerite (Agen, 1879 – Neuilly-sur-Seine, 1971) et Alice (Agen, 1880 – Neuilly-sur-Seine, 1971) ;

ainsi que son frère Louis (Langon, 1867 – Agen, 1920)…

Voici ce que donne cette relecture-révision rétrospective :

Ce jour,

j’ai continué à rechercher sur le web divers faire-part de naissance, mariage et décès

pouvant me fournir des indices d’alliances familiales entre ceux des Ducos du Hauron _ en ce tout début de recherche, j’ignore quels ils sont précisément : j’ignore d’abord la date du mariage (à Orléansville ?..) d’Amédée Ducos du Hauron et Marie-Louise Rey ; de même que j’ignore les dates de naissance des premiers enfants qui leur sont nés… Ces événements familiaux ont-ils eu lieu avant le mois de novembre 1896 du retour en France de la majeure partie de la famille d’Alcide ? ou après ?.. _ qui demeurèrent en Algérie après le départ en novembre 1896 d’Alcide et son épouse Cézarine-Marie, son fils cadet Gaston, ainsi, je suppose, que leurs filles Marguerite et Alice _ et aussi, peut-être parti en avant garde, Louis, qui choisit de venir s’installer à Paris, dans le quartier des Batignolles _,

et diverses familles vivant en Algérie :

les Rey, les Ducros, les Gadel, les Gentet, au premier chef ;

et d’autres familles alliées, comme les Bure, d’Alger et Orléansville…

Je veux donc parler d’abord ici du destin « algérien » du fils aîné, Amédée Ducos du Hauron, qui choisit, lui, de faire carrière en cette Algérie, dans l’administration ;

ainsi que s’y marier, avec Marie-Louise Rey ; et, très bientôt, aussi et surtout, y fonder une famille.

Une famille qui comptera 5 enfants au moment de la retraite d’Amédée (à l’âge de 60 ans), à Rébeval, en 1927…

Les trois principaux avis (ou faire-part) de décès, tous publiés dans L’Écho d’Alger, me permettant de repérer avec quelles autres familles, en Algérie, se sont alliées les Ducos du Hauron,

datent  :

1) du 13 octobre 1933, pour l’avis du décès _ par les familles Ducos du Hauron, Ducros, Gadel et Gentet _, à Agen, le 20 septembre 1933, de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, dont l’inhumation a eu lieu _ peut-être pas : la liste des personnes inhumées en ce caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, ne comprend pas, en effet, Marie-Louise Rey… _ dans le caveau familial des Ducos du Hauron, au cimetière de Gaillard, à Agen ;

2) du 13 août 1935, pour l’avis du décès _ par les familles Ducos du Hauron, Ducros et Gadel _, à Alger, d’Amédée Ducos du Hauron ; dont les obsèques eurent lieu, à Alger, le 15 juillet 1935 ;

3) et du 2 janvier 1939, pour le faire-part _ cette fois _ du décès, à Alger, lors des vacances de Noël 1938, d’Éveline Ducos du Hauron, épouse de Henri Ducros, administrateur-adjoint à Dupleix ; et dont les obsèques eurent lieu dans l’intimité familiale le 1er janvier 1939, à Alger.

Assez peu de précisions, ces trois fois-ci,

sur les alliances familiales nouées, en Algérie, par cette branche « algéroise – algérienne » des Ducos du Hauron _ la branche issue d’Amédée _,

à l’exception des Ducros, Gadel et Gentet,

dont les noms ont été mentionnés dans ces deux avis de 1933 et 1935, et ce faire-part de 1939…

Il me faut donc rechercher un peu plus loin :

à suivre…

Ce mercredi 23 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Soient, pour le moment, de menues révisions…

Ce lundi 8 novembre 2021, Titus Curiosus -, Francis Lippa

Nouvelle relecture (très féconde) de l’article du 16 décembre 2020 « Essayer de réduire la tache aveugle du devenir des petits-neveux et arrière-petits neveux et nièces de Louis Ducos du Hauron, nés en Algérie après le retour en France, en 1896, d’Alcide et Louis Ducos du Hauron »

07nov

Ce dimanche 7 novembre 2021,

je poursuis mes exercices de re-lecture-révisions _ avec corrections, précisions et ajouts en rouge et en gras _,

cette fois de mon article du 16 décembre 2020 « « …

Voici donc ce que cela donne :

Ce jour _ il s’agissait là du mercredi 16 décembre 2020 _, j’ai commencé par relire et reprendre, pour en corriger pas mal d’imprécisions, voire erreurs, ma synthèse de la veille :  ; ce qui m’a pris pas mal de temps, et sera encore à reprendre, afin de gagner encore en clarté et fluidité…

Ce jour, donc,

je désire éclaircir ce que je qualifierai de la « généalogie algérienne » d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 14 juillet 1935) _ l’ainé des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron : Amédée, Raymond de Bercegol, et Gaston Ducos du Hauron _ et de sa descendance…

Et je suis encore _ et demeure toujours, à cette nouvelle date du 7 novembre 2021 ! _ très insatisfait de ce que j’ai pu découvrir jusqu’ici à propos des enfants d’Amédée et de Marie-Louise Rey,

qui sont peut-être au nombre de 5 _ mais je ne suis pas encore parvenu à tous les identifier ! Et toujours pas ce 7 novembre 2021… _,

si je m’en rapporte au très intéressant article de l’Écho d’Alger du 4 mars 1927, alors qu’Amédée Ducos du Hauron est, en 1927, à l’âge de 60 ans _ Marie-Louis- Amédée Ducos du Hauron, en effet, est né le 24 mars 1867 ; et non pas le 9 février 1866 (qui est la date de naissance de son frère aîné Henri-Amédée-Lionel, né, lui aussi à Agen, le 9 février 1866 ; et prématurément décédé à l’âge de 5 mois et un jour, à Agen, le 11 juillet 1866… La similitude du prénom Amédée, commun aux deux frères, m’avait alors égaré ; je n’avais pas été aller chercher plus loin dans les archives d’Etat-Civil d’Agen… _, désormais retraité de sa carrière administrative ;

une carrière qui s’est entièrement déroulée, semble-t-il, en Algérie _ cf mon indispensable (et magnifiquement précis) article à venir, le 5 janvier 2021 : … Un article riche de très nombreuses ressources pour la recherche, et sur lequel il me faudra, bien évidemment, revenir travailler en profondeur…

Même si un moment,

et forcément avant, novembre 1896, le retour en France de ses parents, de son frère et de son oncle,

Amédée a travaillé un peu

_ semble-t-il, du moins au regard de l’article rétrospectif re-publié dans ce numéro de L’Écho d’Alger du 4 mars 1927, un article précédemment paru dans un journal parisien, dont le nom n’était pas cité… ; et je reprends ici la citation de ce bien intéressant article de L’Écho d’Alger :  » Le seul homme qui porte le nom glorieux de Ducos du Hauron vit péniblement à Rébeval (Algérie) avec une retraite de 400 francs par mois, son principal revenu pour entretenir une famille de cinq enfants. Nous nous ferons un devoir et un honneur de revenir sur l’ingratitude manifestée à l’égard de la famille Ducos par ceux-là même qui ont trouvé dans ses inventions une source considérable de millions et de gloire. Mais, d’ores et déjà, nous estimons qu’une ère de réparation devrait s’ouvrir en faveur de M. Amédée Ducos du Hauron, neveu direct de l’inventeur des anaglyphes et de la photographie des couleurs, seul porteur actuel du nom de Ducos du Hauron, qui fut, jusqu’à vingt-sept ans _ et Amédée, né le 24 mars 1867, atteindra l’âge de 28 ans le 24 mars 1894… ; peut-on tirer certaines conclusions, déjà, de ces dates?.. _, en compagnie de son père, Alcide Ducos du Hauron (successivement conseiller à la Cour d’appel d’Agen et d’Alger), le collaborateur du glorieux inventeur Louis Ducos du Hauron, son oncle«  _

aux côtés de son oncle Louis, à seconder _ voilà ! _ les recherches photographiques de celui-ci _ et il y a bien là toute une recherche à mener… _, lui aussi ; comme son frère Gaston, et, bientôt, en France (et région parisienne) son cousin Raymond de Bercegol…

Tous ont attrapé le virus, apparemment très contagieux, de la recherche,

auprès du génialissime oncle Louis _ voilà la recherche qu’il faudrait engager et mener systématiquement de manière méthodique…

De la modeste _ oui … _ carrière administrative d’Amédée Ducos du Hauron,

je tâcherai de repérer le mieux possible les assez humbles _ il faut bien le reconnaître _ étapes,

dans diverses petites villes, voire villages, d’Algérie _ dans lesquels Amédée a exercé les fonctions d’administrateur-adjoint _, entre janvier 1901 et le 25 juin 1914,

du moins pour les 12 références (en 1901, 1904, 1909, 1913 et 1914) que je suis parvenu jusqu’ici à recueillir sur le web ; demeurent donc encore pas mal de trous dans ma raquette _ comme il se dit ces temps-ci… _ : 

_ Oued Sahel

_ l’Ouarsenis

_ Cassaigne _ aujourd’hui Sidi Ali…

_ le Cheliff

_ Lamartine _ aujourd’hui El Karimia : c’est là qu’est née, le 8 juillet 1904, la petite Edmée Ducos du Hauron…

_ Berrouaghia _ c’est là qu’est né, le 30 août 1909, le petit Gérard Ducos du Hauron

_ Sidi Aïssa

_ Mizrana

_ Rébeval _ aujourd’hui Baghlia ; là vivait la famille d’Amédée Ducos du Hauron, en 1927…

_ Tablat

_ L’Arba

Et c’est à Alger, au mois de juillet 1935 _ ses obsèques ont eu lieu le 15 juillet _, qu’est décédé, à l’âge de 68 ans, Amédée Ducos du Hauron.

Ce mercredi 16 décembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Les questions que je me pose concernent les raisons, peut-être, voire probablement, multiples,

de la cruciale décision d’Amédée Ducos du Hauron de ne pas accompagner ses parents Alcide et Cézarine-Marie, son oncle Louis, son frère Gaston et ses deux sœurs Marguerite et Alice, qui retournent en France _ non pas à Agen, mais à Paris _,

mais de demeurer, lui, et seul de sa famille, en Algérie _ où réside-t-il alors ? à Alger ? à Orléansville ? _, ce mois de novembre 1896…

Ces raisons de demeurer en Algérie sont-elles, de la part d’Amédée, uniquement professionnelles ?

Au mois de novembre 1896, Amédée a atteint, depuis le 24 mars, l’âge de 29 ans _ cf mon article du 5 janvier 2021 : 

Ou bien, entre-t-il aussi, dans cette cruciale décision de novembre 1896, voire en priorité, des raisons beaucoup plus personnelles et sentimentales, telle que sa rencontre, puis son mariage _ probablement à Orléansville où demeure, auprès de son tuteur (et oncle maternel) Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906), Marie-Louise Rey, née en 1879 à Orléansville ; mais j’ignore encore à quelle date ce mariage a eu lieu… ;

pour le moment je ne sais toujours rien de plus précis sur la date ni le lieu de naissance de Marie-Louise Rey (très probablement à Orléansville, donc, où résidaient encore, en 1879, ses parents, Jean-Anatole Rey et son épouse orléansvillaise Adélaïde Gentet, avant de s’installer à Oran, le 29 novembre 1883 (cf mon article du 31 mars 2021 : ) ;

Oran, où décèderont Adélaïde Gentet (née à Orléansville en 1855) le 21 juillet 1886, et Jean-Anatole Rey (né au Grand-Serre, le 10 juin 1845), le 28 janvier 1890 ;

janvier 1890, le moment où, faisant fonction de tuteur de ses nièces Marie-Louise et sa sœur Aimée-Laurence Rey, Louis Gentet, avec son épouse (née Wachter), accueillera  les deux orphelines Rey en leur foyer, à Orléansville

(cf cet article, lui aussi décisif, en date du 2 janvier 2021 : ) ;

Orléansville constituant ainsi, dès lors, un lieu doublement crucial, tant affectif que professionnel, pour la destinée définitivement « algérienne«  de l’agenais de naissance Amédée Ducos du Hauron ! _

avec celle qui deviendra, mais à quelle date au juste, son épouse, l’orléansvillaise née en 1879 Marie-Louise Rey ?

En ce mois de novembre 1896, Marie-Louise Rey, qui vit à Orléansville, a 17 ans ;

et Amédée Ducos du Hauron, lui, a 29 ans…

Ce sont assurément là d’importantes questions dont les réponses me font toujours défaut, dans mon effort continué de mieux connaître et comprendre le passionnant parcours d’existence d’Amédée Ducos du Hauron en Algérie ;

ainsi que le devenir, en Algérie aussi, de ses enfants et petits-enfants… 

La recherche se poursuit donc !

Ce dimanche 7 novembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Précisions complémentaires à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance (et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés), des neveux de Louis Ducos du Hauron, et plus spécialement en Algérie…

31oct

Voici quelques précisions complémentaires
à propos de quelques taches aveugles qui demeurent dans ma recherche de la descendance et apparentements, plus ou moins proches ou éloignés, des neveux de Louis Ducos du Hauron,
et plus spécialement en Algérie…

C’est surtout la descendance de Jean-Baptiste-Antoine Wachter (Rougemont, 5 février 1827 – ?) et son épouse Elisabeth Confex (Marseille, 28 décembre 1836 – Alger, 30 mars 1925), mariés à Mustapha le 26 mai 1857,
qui m’intéresse :
plus précisément pour la relation de parenté d’une de leur fille _ née Wachter, donc, mais dont je n’ai pas encore découvert le prénom ; ni donc l’identité précise… _,
avec l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 24 mars 1867 – Alger, 15 juillet 1935), née Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933).
Car cette future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », dont j’ignore aussi les dates et lieux de naissance et de décès, ainsi que la date et le lieu _ probablement à Orléansville _ de son mariage avec Louis Gentet (Orléansville, 12 octobre 1853 – Orléansville, 9 août 1906)
n’est autre,
du fait de son mariage avec Louis Gentet, oncle et tuteur des 2 filles Marie-Louise et Aimée-Laurence Rey, devenues orphelines de leurs deux parents, Jean-Anatole Rey (décédé à Oran le 28 janvier 1890) et son épouse Adélaïde Gentet (décédée à Oran le 25 juillet 1886),
que la tante par alliance de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron,
le neveu demeuré en Algérie, de Louis Ducos du Hauron. 
 
 
Des 5 (ou 6) enfants du couple Jean-Baptiste-Antoine Wachter – Elisabeth Confex (qui se sont mariés à Mustapha le 26 mai 1857)
à défaut d’en connaître assez au sujet de la future « Veuve Louis Gentet, née Wachter », 
j’ai identifié, mais avec des données encore un peu trop partielles, les 5 enfants suivants :  
_ Elisabeth-Marie-Louise Wachter : Medea, 9-mars 1858 – ?
_ Aimée-Marie Wachter : Mustapha, 2 septembre 1859 – ?
_ Louis-Jules Wachter : Orléansville, 29 juillet 1866 – ? : il épousera à Bône, le 14 janvier 1905, Thérèse Grazia Gallo (née à Bône le 26 octobre 1883)
_ Émile Wachter : Mustapha, 15 mai 1869 – ? : il épousera à Orléansville, le 21 octobre 1897, Hélène-Etiennette-Sophie Janet
_ Marie Émélie Wachter : ?, 1874 ou 75 : elle épousera son cousin Albert-Philippe-Joseph Ferrand (né en 1869, dont la mère, mariée à Alger le 18 juin 1868, à Philippe Ferrand (Fleury-lès-Lavancourt, 7 août 1828 – Alger, 2 décembre 1889), était une Confex : Aimée-Justine-Marie Confex, née à Alger le 7 février 1839, sœur cadette d’Elisabeth Confex).
L’époux de cette Marie-Emélie Wachter, Albert Ferrand, décèdera à Alger le 18 décembre 1927 ;
et sur le faire-part du décès que publiera sa veuve « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » _ cf mon article du 3à janvier 2021 : _,
sont présents, et dans cet ordre :
… 
_ « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter, et ses enfants : Yvonne et Simone » _ les deux filles du couple du défunt et de sa veuve _,
« M. Henri Ferrand _ le fils aîné du couple _ et Mme » _ née Raphaëlle Apostolico _,
« Mme Vve Bonopera » _ tante, née Confex, de la veuve d’Albert Ferrand, Marie-Emélie Wachter… ; et d’elle aussi j’ignore toujours le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Paul Bonopéra, probablement à Orléansville… _,
« Mme Vve Louis Gentet, née Wachter » _ très probablement sœur de « Madame Vve Albert Ferrand, née Wachter » ; d’elle aussi j’ignore le prénom, ainsi que ses lieux et dates de naissance et de décès ; de même que la date de son mariage avec M. Louis Gentet, probablement à Orléansville, elle aussi… _
« Mme et M. Emile Wachter, et leurs enfants » _ le frère (né à Mustapha, le 15 mai 1869) et la belle-sœur (née Hélène-Etiennette-Sophie Janet) de la veuve Ferrand, et leurs enfants, neveux et nièces de la veuve Ferrand née Wachter, soient Henri Wachter, Emile-Antoine Wachter, Albert Wachter, Mireille Wachter et Suzanne-Hélène-Emilie… ; cf mes articles du 2 février 2021 :  ; et du 29 mars 2021 : ... _,
« Mme Vve Louis Wachter et sa fille » _ la belle-sœur de la veuve Ferrand, et veuve elle-même de Louis Wachter, frère (né à Orléansville le 29 juillet 1866) de la veuve Ferrand ; ainsi que leur fille Paula Wachter _,
« Mme et M. Jules Malinconi et leurs enfants » _ Mme Malinconi est née Joséphine-Aimée-Constance Confex, à Alger le 31 octobre 1877 ; et elle est la fille de Marius-Ernest-Jules Confex (né à Alger le 19 février 1841) et son épouse Marie-Augustine Cremonini ; et par conséquent, elle est nièce de la veuve Ferrand, née Aimée-Justine-Marie Confex, sœur de son père, Marius-Ernest-Jules Confex _,
« M. A. Gastaud » _ le fiancé d’Yvonne Ferrand : ils se marieront à Alger le 4 février 1928 _,
« les familles Ferrand, Gadel, Ducos du Hauron, Gentet, Gastaud ».
Voilà.
J’espère ne pas trop noyer mon lecteur dans la forêt des si nombreux détails de ces divers articles ;
mais rechercher le moindre indice est tout à fait passionnant !
C’est tout un passé qui, peu à peu, bribe d’indice par bribe d’indice à explorer, émerge et réapparaît…
...
Ce dimanche 31 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Une nouvelle réponse à une de mes bouteilles à la mer, à propos des familles d’Algérie, plus ou moins liées à la famille d’Amédée Ducos du Hauron

30oct

Ce samedi 30 octobre 2021, à 11 h 36, très précisément,

mon article du dimanche 28 mars 2021, , vient de recevoir un utile rectificatif d’ordre généalogique, que voici :

« Bonjour
Tombé par hasard sur vos commentaires, d’abord bravo, et ensuite une petite rectification : mon père ne s’appelle pas Paul, mais Joseph René Jean SCHEMBRI, né à Alger le 1er mai 1922 et décédé à Sidi Moussa le 19 novembre 1958. 
Cordialement »

La réponse que je viens d’adresser à cet aimable correspondant,

me permet de faire un retour un peu synthétique sur l’accroche de cet article-ci, à propos des Molbert Mosti et Schembri, à l’ensemble de ma recherche sur la descendance des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920),

et tout particulièrement, celle, en Algérie, d’Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 15 juillet 1935)…

La voici donc, cette réponse :

Monsieur,

 
merci beaucoup de rectifier,
à propos de votre père Joseph René Jean Schembri (Alger, 1er mai 1922 – Sidi Moussa, 19 novembre 1958),
les données généalogiques, incorrectes, de mon article du 28 mars dernier :  
 
Cet article prenait place dans le cadre de mes recherches concernant la descendance des trois neveux de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1937 – Agen, 1920)
lequel est l’inventeur de la photographie de couleurs (à Lectoure, en 1868) _,
et plus particulièrement la descendance, en Algérie, de l’aîné de ces trois neveux,
Amédée Ducos du Hauron (Agen, 9 février 1866 – Alger, 15 juillet 1935).
 
Lequel Amédée Ducos du Hauron a épousé, probablement à Orléansville, et avant 1900, Marie-Louise Rey (Orléansville, 1879 – Agen, 20 septembre 1933) ;
et est demeuré alors en Algérie _ où il a fait toute sa carrière dans l’administration du pays _,
puis, après lui, ses enfants…
 
 
C’est en cela que je me suis intéressé d‘un peu près aux familles installées, très tôt, dès les années 1840, à Orléanssville,
parmi lesquelles, au début du XXe siècle, des membres de la famille Bonopéra et de la famille Wachter (une famille originaire du Territoire de Belfort) ;
dont une des membres, Sophie Wachter (Rougemont, 19 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897), a été l’épouse d’un membre de la famille Molbert,
François-Martin Molbert (Chaux, 9 décembre 1825 – Mustapha, 22 juin 1884) : Chaux étant, comme Rougemont, une commune du Territoire de Belfort…
 
Cf,
encadrant l’article du 28 mars 2021 que vous avez commenté (),
mes articles
 
Ainsi que,
pour bien éclairer le raccord de la famille Wachter, d’Orléansville, avec les Ducos du Hauron, et les familles qui leur sont apparentées, à partir des Gentet et des Rey d’Orléansville,
des liens à mes articles,
 
C’est en effet lors de la recherche de la généalogie de cette famille Wachter, installée à Orléansville,
et dont une des membres Wachter _ dont j’ignore hélas encore le prénom… _ a été l’épouse de Louis Gentet, oncle maternel (et tuteur) de Marie-Louise Rey, l’épouse d’Amédée Ducos du Hauron, que j’en suis venu à découvrir les noms (et apparentements) des Molbert, des Mots, et des Schembri, que j’ai alors évoqués dans mon article ;
dans l’espoir de recueillir peut-être de nouvelles données généalogiques concernant cette famille des Wachter installée alors, au début du XXe siècle, à Orléansville…
 
Alors, Monsieur, disposeriez-vous de quelque connaissance de cette famille Wachter, originaire de Rougemont (Territoire de Belfort), et installée à Orléansville ?
Cette famille Wachter à laquelle est lié votre ancêtre Jean-Baptiste-Claude Molbert (Chaux, 10 mars 1830 – Kouba, 24 novembre 1904),
par le mariage, en 1857, de son frère François-Martin Molbert (Chaux, 9 décembre 1825 – Mustapha, 22 juin 1884) avec Sophie Wachter (Rougemont, 29 janvier 1824 – Courbet, 9 mai 1897)…  
Voilà ce que je permets de vous demander…
 
 
Sans avoir nul lien personnel avec l’Algérie,
je dois dire que les vies, souvent difficiles, des habitants d’Orléansville, et plus largement de l’Algérie, depuis 1830,
est un sujet qui m’a passionné…
 
Je suis entré en rapport (par courriel ou téléphonique) avec certains des membres actuels des familles Ducos du Hauron, Bonopéra, Morand de la Genevray,
à la recherche de précisions sur l’histoire de leurs vies en Algérie, entre 1930 et 1962.
 
….
 
Voilà les raisons de ma réponse à votre commentaire à mon article…
Et, au passage, je serais aussi, bien sûr, curieux d’en apprendre un peu davantage sur l’histoire des Molbert, Mosti et Schembri, à Kouba…
Bien à vous,
Francis Lippa
Ce samedi 30 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Quand les messages des bouteilles lancées à la mer rencontrent des destinataires et offrent de merveilleux retours…

26sept

Que mon blog rencontre de vrais lecteurs passionnés
assez patients pour me lire in extenso _ au point même d’imprimer l’intégralité de la série de ces articles qui les intéressent !.. _,
constitue une sorte de miracle !
 
Et pourtant il advient à quelques uns de mes détaillés articles – bouteilles-lancées-à-la-mer 
d’arriver à rencontrer quelques lointains destinataires qui y portent une extrême scrupuleuse attention.
 
C’est magnifique !
 
C’est ce qui vient de se produire avec Joël Petitjean,
chercheur (et découvreur) de l’œuvre photographique de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), le génial inventeur de la « photographie de couleurs » :
à partir de mes articles
d’avant-hier 24 septembre
et de la récapitulation commode du 4 janvier 2021
 
Comme c’est arrivé aussi, notamment, avec Manuel Cornejo
_ éditeur de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel (et Président des Amis de Maurice Ravel), avec lequel je suis désormais en très amical et très fructueux contact permanent _
pour mes articles de recherche sur Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937) :
 
Ou encore avec Luc et Georgie Durosoir,
à partir de mes divers articles _ cf celui-ci, inaugural et essentiel (!), du 4 juillet 2008 :  ; et, 12 ans plus tard, celui-là, du 28 juin 2020 : _ sur l’œuvre musicale de Lucien Durosoir (1878 – 1955)…
Dont un des très mémorables aboutissements fut mes 2 contributions (1  et 2), au mois de février 2011, au Colloque « Un Compositeur moderne né romantique : Lucien Durosoir (1878 – 1955)« , qui s’est tenu au magnifique Palazzetto Bru-Zane à Venise :
 
La recherche désintéressée, vierge de tout souci de plaire, est donc féconde…

En effet, à mon courriel de vendredi 24 septembre dernier, à 15h 12 :
Le commentaire, hier, d’Annie Boulanger _ quelle magnifique surprise ! _, à mon article du 21 décembre 2020 :
m’a permis de reprendre, corriger et améliorer mon article généalogique du 4 janvier dernier : 
J’ose donc espérer que de nouveaux contacts, comme ceux, excellents, que j’ai eu en décembre dernier avec Claude Lamarque,
par exemple lors du colloque « Louis Ducos du Hauron » qui aura lieu au Théâtre Ducournau, à Agen, la journée du 27 novembre prochain,
m’offriront l’opportunité de compléter _ ou corriger _ mon essai de généalogie des descendants des trois neveux _ Amédée Ducos du Hauron (Agen, 1866 – Alger, 1937), Raymond de Bercegol (Lamothe-Landerron, 1869 – Paris 16e, vers 1949) et Gaston Ducos du Hauron (Agen, Agen, 1870 – Savigny-sur-Orge, 1912) _, de Louis Ducos du Hauron (Langon, 1837 – Agen, 1920), ce génie agenais…
Joël Petitjean a merveilleusement répondu ceci, par retour de courriel, à 19h 58 :
… 

Cher Monsieur,
 
Il y a quelques mois, Claude Lamarque _ petit-fils de Gaston Ducos du Hauron, via la fille aînée de ce dernier, Etiennette Ducos du Hauron (Saint-Mandé, 1898 – Paris 6e, 1996), épouse d’Alfred Lamarque (Angers, 1878 – Paris 7e, 1976) _, avec qui je suis en relation très amicale, m’avait demandé s’il pouvait vous donner mon adresse courriel afin que nous puissions échanger sur notre passion commune, ce que j’ai accepté bien volontiers !
 
J’ai donc attendu votre message et je le reçois aujourd’hui avec joie.
 
Passionné et travaillant sur Ducos du Hauron depuis de longues années _ 1984 _, j’ai fait l’effort de suivre au jour le jour, lire (et imprimer) votre formidable travail (qui mériterait grandement d’être organisé pour une publication) ; je suis donc un de vos lecteurs assidus.
 
Vous m’avez beaucoup appris.
 
Pour ma part, j’ai réuni une importante documentation et j’aurais quelques précisions à vous apporter.
 
Je suis donc à votre disposition pour convenir, si vous le souhaitiez, d’un rendez vous téléphonique ces prochaines semaines. (Nous nous rencontrerons peut-être en marge du colloque du 27 novembre, mais il n’est pas sûr que nous puissions échanger longuement.)
 
Je vous adresse en pièce jointe, pour information, un de mes articles ainsi que mon CV (c’est le plus simple…) où sont décrits tous mes travaux et réalisations sur Ducos du Hauron.
 
Au plaisir de vous lire, bien cordialement.
 
Joël Petitjean
Voici maintenant ma réponse à ce splendide courriel de Joël Petitjean,
hier, samedi 25 septembre, à 11h 02 :
Cher Monsieur,

 
Quelle magnifique et heureuse surprise que votre courriel !
 
Vous sachant très occupé,
et m’étant petit à petit écarté du propos initial de ma recherche concernant les 3 neveux _ et leurs activités en lien avec celles de leur oncle Louis _ de Louis Ducos du Hauron,
pour porter mon attention sur leurs descendances, et bientôt les affiliations de ces descendants ;
et plus encore, très vite, sur les parcours en Algérie d’Amédée Ducos du Hauron et des personnes qui lui étaient, de près, puis de plus loin, apparentées _ par mariages _,
je n’ai pas voulu vous ennuyer avec ces recherches qui s’éloignaient des activités spécifiques de recherche et inventions de Louis Ducos du Hauron 
(ainsi que de ses 3 neveux, qui ont plus ou moins, et à divers moments, effectivement collaboré à ses travaux)…
 
J’étais donc un peu loin de penser que le chercheur très sérieux que vous êtes, pouvait s’intéresser aux interrogations et étapes de ma curiosité à propos de la famille de Louis Ducos du Hauron _ et son devenir jusqu’à aujourd’hui…
 
C’est que j’ignorais que vous êtes aussi, et peut-être d’abord, un passionné de la curiosité…
 
Les articles de mon blog constituent, en effet, une sorte de journal, quasi au quotidien, de ma recherche tâtonnante, et avançant par « sauts »,
au gré des indices que je parvenais, peu à peu, à glaner, et à connecter un peu entre eux, afin de répondre aux diverses strates de mes interrogations…
 
Même si, de temps, j’éprouvais le besoin d’en tirer quelques maladroites synthèses, me corrigeant au fur et à mesure.
 
J’ai pu entrer en contact avec divers membres de familles directement issues des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, ou apparentées, via des mariages.
Je me suis en effet pas mal appuyé sur des faire-part de mariage et de décès, voire des annonces de naissance, qu’il m’a fallu éclaircir, au fur et à mesure, afin d’établir les réels liens de parenté.
 
Mais j’en ai pris l’habitude, ayant travaillé d’abord sur le parcours _ en zone dite libre, sous l’Occupation _ de mon père (Stanislawow, 1914 – Bordeaux, 2006) durant la guerre (entre mai 1942 et septembre 1944),
pour découvrir, à partir de menus indices, ce qu’il avait vécu : au camp de Gurs, où il a fait partie de Groupes de Travailleurs Etrangers _ GTE : une création de Vichy… _ ; puis à Toulouse, et surtout à Oloron, où il a eu quelques activités de Résistance…
 
J’ai travaillé aussi sur la généalogie (béarnaise) de la famille Bioy, d’Oloron
dont le plus célèbre membre est l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (Buenos Aires, 1914 – Buenos Aires, 1999) _ ma mère (Tarbes, 1918 – Bordeaux, 2018), née Marie-France Bioy, était La mémoire vivante de notre famille…
Là-dessus, cf mon commode compendium d’articles du 30 juillet dernier :
Puis, j’ai entrepris des recherches sur la généalogie basquaise de la mère, Marie Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917), de Maurice Ravel (Ciboure, 1875 – Paris, 1937) :
j’ai ainsi appris à une très aimable luzienne, Maylen Lenoir, née Gaudin, le cousinage effectif, ignoré et même nié jusque là !!! _ et il y a là une étrangeté qui mériterait assurément d’être éclaircie ! _, de sa grand-mère, née Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), avec Maurice Ravel ;
Maurice Ravel dont la grand-tante, Gachucha Billac (Ciboure, 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 1902), sœur de sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (Ciboure, 1809 – Ciboure, 1874),
était la gouvernante des 7 enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dont l’aîné, Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1875 – Bimbo, sur le fleuve Oubangui, 1910), était le mari de Magdeleine Hiriart…
Dans 2 lettres des 8 octobre 1910 et 20 novembre 1914 _ aux pages 246 et 403 de la Correspondance de Maurice Ravel publiée aux Éditions Le Passeur par Manuel Cornejo en 2018 _, à l’occasion des décès de Charles Gaudin _ le mari de Magdeleine Hiriart ; cf mon article du 16 juillet 2019 : _, puis de ses frères Pierre (Saint-Jean-de-Luz, 1878 – Mangiennes, 1914) et Pascal (Saint-Jean-de-Luz, 1883 – Mangiennes, 1914) Gaudin,
Maurice Ravel et Magdeleine Hiriart s’appellent « Mon cher cousin », « Ma chère cousine » : j’ai simplement cherché à comprendre pourquoi…
Et Maurice Ravel est demeuré toute sa vie l’ami très proche de Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1876 – Saint-Jean-de-Luz, 1976), la 4ème des 8 enfants d’Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 1920) et Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 1936), au domicile desquels Maurice Ravel est descendu à de multiples reprises lors de ses séjours à Saint-Jean-de-Luz…
 
Je suis, bien sûr, en lien constant et amical avec le Président des Amis de Maurice Ravel, le très actif Manuel Cornejo, le magnifique éditeur de la très précieuse Correspondance de Maurice Ravel,
de la lecture scrupuleuse de laquelle je suis parti pour mes recherches…
J’ai ainsi pu corriger de grossières erreurs de certains biographes prétendument sérieux, qui se contentent de reprendre tels quels, sans critique, ni authentique recherche personnelle tant soit peu rigoureuse et approfondie, les travaux de chercheurs antérieurs…
Manuel Cornejo tiendra compte des apports de mes corrections et découvertes lors de la réédition à venir de cette très riche Correspondance
Lui aussi est un chercheur passionné (et sérieux !).
 
Dernièrement, je me suis intéressé aussi à la famille d’un ancien collègue de travail, au tournant des années 80,
dont deux neveux, fils de sa sœur Bertille de Swarte, sont d’intéressants _ et remarquables _ musiciens baroques : Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte…
Je me souvenais, en effet, que mon collègue, originaire de Dordogne, avait des liens de parenté avec la famille Sartre ;
et il se trouve que le père (Jean-Baptiste Sartre) de Jean-Paul Sartre (Paris, 1905 – Paris 1980) était originaire de Thiviers, en Dordogne : Jean-Baptiste Sartre est né à Thiviers le 5 août 1874 ; et décédé à Thiviers, le 17 septembre 1906.
Le père de Sylvain Sartre, Pierre Sartre, est, en effet _ j’ai pu l’établir : cf mon article du 8 juin dernier : ... _, un cousin des Sartre de Thiviers… 
Il suffisait d’opérer les connexions nécessaires…
Le monde n’est pas si grand que des chemins ne finissent pas par se croiser…
 
Et il se trouve aussi que ma belle-mère est d’une vieille famille d’Agen, les Boué ;
Agen, où vivent donc des cousins…
Je suis aussi Vice-Président de la Société de Philosophie de Bordeaux…
Et, par ma forme d’esprit, je suis fervent adepte et pratiquant de la sérendipité !
 
Encore merci de ce merveilleux contact !
A ce courriel mien d’hier à 11h 02,
Joël Petitjean a répondu très vite, à 12h 46,
ceci :
Cher Monsieur,
 
Je suis si heureux de recevoir votre réponse !
 
Votre message est passionnant et votre parcours tout à fait remarquable.
 
Il me semble que personne, avant vous-même, n’avait tenté une étude et une synthèse aussi complètes sur la généalogie de Louis Ducos du Hauron.
 
J’ai lu et entendu bien des choses sur sa vie et son oeuvre, mais je suis en effet très curieux d’en savoir davantage sur sa personnalité, ses relations avec ses proches, la manière dont il fut aimé et admiré par les siens, les souvenirs qu’il a laissés à sa famille… Tout cela est de nature à mieux faire comprendre son magnifique et étonnant parcours.
 
C’est pourquoi mes longues conversations téléphoniques avec Claude Lamarque, dans un climat d’extrême gentillesse et de passion partagée, m’ont comblé de bonheur… (Je n’ai pas de nouvelle récente de Claude ; en avez-vous ?)
 
Je me réjouis de notre future conversation. Je vous proposerai une date dans quelque temps (je prépare en ce moment ma communication pour le colloque).
 
Avec mes sincères remerciements, bien à vous.
 
Joël
 
N.B. 1. Après m’être senti bien seul durant de longues années (depuis 1998, sinon depuis 1984…), presque personne n’étant venu au musée voir les archives _ de Louis Ducos du Hauron _ que j’ai retrouvées _ et c’est en effet très frustrant ; alors que la photographie suscite tant d’intérêts… _  je suis ravi de voir, depuis 2015, toute une synergie se mettre _ enfin… _ en place à Chalon-sur-Saône, Paris, Agen, Lectoure, Langon, afin d’étudier et faire connaître Ducos du Hauron. Le colloque d’Agen _ le samedi 27 novembre prochain _ en sera un vibrant témoignage.
 
N.B. 2. Grâce à Charles Sarion et aux Amis de Ducos du Hauron, j’ai rendu un long article à la Société académique d’Agen. Celui-ci sera bientôt publié, avec d’autres contributions, dans un numéro de la Revue de l’Agenais consacré à l’inventeur
_ j’ai moi-même eu un article publié par la Revue de l’Agenais (127e année, n°1, janvier-mars 2000), concernant la Bibliothèque musicale des Ducs d’Aiguillon, conservée à Agen, et réalisé pour un colloque organisé à Aiguillon par Serge-Alain Paraillous…
J’avais entrepris ces recherches en tant que conseiller artistique de Hugo Reyne et La Simphonie du Marais…
Pour lesquels j’avais découvert, en 1995, une œuvre restée jusqu’alors inconnue de Marc-Antoine Charpentier, sur un livret de Jean de La Fontaine, de 1678 : Les Amours d’Acis et Galatée… Découverte précieusement mentionnée à la page 138 de la 2de édition, en 2004, du Marc-Antoine Charpentier de Catherine Cessac, aux Éditions Fayard : cf là-dessus mon article du 18 avril 2009 : .
Cela fait vraiment plaisir !!!
Ce dimanche 26 septembre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa
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