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Et à nouveau un point d’étape sur les progrès de la recherche à propos du terreau favorable à l’épanouissement musical de Théotime Langlois de Swarte

29juin

Après le petit récapitulatif du dimanche 20 juin,

,

voici, pour un nouveau point d’étape des avancées de cette recherche :

_ lundi 21 juin : 

_ mardi 22 juin : 

_ mercredi 23 juin : 

_ jeudi 24 juin : 

_ vendredi 25 juin : 

_ samedi 26 juin : 

_ dimanche 27 juin : 

_ et lundi 28 juin : 

La recherche exige pas mal de patience, ainsi que de constance et de méthode dans l’effort ;

ainsi que le bienveillant et inespéré secours, forcément capricieux, de la sérendipité !



À suivre…

Ce mardi 29 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et en continuant les recherches d’apparentements encore inaperçus jusqu’ici : de nouvelles précisions sur les liens familiaux unissant, doublement, les Mathy (de Namur) et les de Swarte de Trélissac)…

27juin

La recherche demande beaucoup de temps, de constance, ainsi que de patience…

Des pistes viennent s’ouvrir à des moments tout à fait inattendus, grâce à un nom qui, d’un coup, vient faire une lumière inespérée ;

telle, hier, la découverte du faire-part de décès, à Namur, le 12 août 2017, d’Odette Legros, veuve Mathy,

la mère de Marie-Amélie Mathy et belle-mère de son époux Bertrand de Swarte,

et la grand-mère de Gaël, de Jérémie, de Juliette et de Madeleine de Swarte, les enfants de Marie-Amélie Mathy et Bertrand de Swarte ;

faire-part de décès dont le contenu détaillé me permet de faire le lien des Mathy de Namur à la fois avec la famille de Bertrand de Swarte _ famille installée, elle aussi (comme celle d’Alain de Swarte, frère de Bertrand) à Trélissac, en Dordogne _, l’époux de Marie-Amélie Mathy (et Trélissac),

mais aussi avec Camille Sartre et sa mère, Bertille de Swarte,

_ laquelle, Bertille de Swarte, se trouve aussi être cousine germaine de Bertrand de Swarte,

dont le père Guy de Swarte était tout simplement le frère du père de Bertille, Alain de Swarte _ ;

cf par exemple cet arbre généalogique

 

Ce dimanche 27 juin 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pierre Bergounioux et le « réel comme obstacle, contrariété, opacité, privation (…) à tenter d’aplanir, d’éclairer, d’obtenir »…

20mai

Ce jeudi soir,

j’en suis à la note du 5 novembre 2019, à la page 741, du Carnet de notes (2016 – 2020) de Pierre Bergounioux.

Je relèverai pour le moment cette cruciale _ très discrète _ révélation,

notée _ au vol de la plume, et sans s’y attarder, et encore moins apesantir… _ le 5 avril 1919, à la page 648 :

« Je couvre trois pages supplémentaires sur les chasses enfantines au jardin de grand-père,

leur peu de résultat,

mes grandes déconvenues,

leur contribution _ et là est bien l’essentiel ! _ à la genèse _ en (et pour) Pierre Bergounioux, en son idiosyncrasie d’identité personnelle singulière en formation _ du réel comme obstacle, contrariété, opacité, privation

que j’emploierai le restant de mon âge _ voilà : au-delà de la mort même, ou la décrépitude : « tant qu’il y aura de l’encre et du papier« , disait le compère périgourdin Montaigne : un voisin du briviste… _ à tenter d’aplanir, d’éclairer, d’obtenir« …

Car c’est cela qui lui donne vraiment tout son allant ! Ainsi que sa constance inépuisable dans l’effort…

Un formidable moteur, en effet, d’activité extrêmement féconde _ ininterrompue _ d’écriture à jamais affrontée à l’étrangèreté foncière du réel,

qui constitue l’idiosyncrasie même _ admirable ! quelle force ! et increvable ténacité, face au néant du vide qui menace en permanence nos vies… _ de Pierre Bergounioux auteur…

Ce jeudi 20 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Nouvel aperçu récapitulatif sur la poursuite de mes recherches sur les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel (avec l’ajout du 6 septembre 2020 au 11 octobre 2020)

14oct

En prolongement de mon déjà exhaustif  du 2 septembre dernier,

voici, ce jour, mercredi 14 octobre 2020,

un bref nouvel ajout récapitulatif de mes recherches ravéliennes cibouro-luziennes,

comportant 5 nouveaux articles,

à partir du 6 septembre, et jusqu’au 11 octobre compris :

_ le 6 septembre :  ;

 _ le 4 octobre :  ;

_ le 5 octobre :  ;

_ le 6 octobre :  ;

_ le 11 octobre :  .

Rechercher des faits à découvrir, établir et valider,

implique

en plus d’une certaine culture, déjà _ mais cela se forge peu à peu, avec la constance d’un peu de patience _, du domaine à investiguer,

et d’une relativement solide mémoire _ potentiellement infinie en ses capacités de se repérer à (voire retrouver) des éléments faisant maintenant fonction d’indices… _ grâce à laquelle se trouver en mesure de puiser et se connecter avec efficacité et si possible justesse

une capacité, fondamentale _ très au-delà de la paresse des simples compilations de travaux antérieurs ! _, de forger _ par audace (voire génie : en toute humilité !) d’imageance (cf ici les travaux de mon amie Marie-José Mondzain)… _ des hypothèses _ si peu que ce soit vraisemblables en leur très essentielle visée de justesse… _ de recherche

accompagnées, bien sûr, aussi, de processus pragmatiques afin de, le plus (et le mieux) possible, valider-confirmer ces hypothèses _ Montaigne, lui, parlait d’« essais«  ; un mot que lui a repris, avec la fortune que l’on sait, Francis Bacon, en son Novum organum, en 1620… _,

c’est-à-dire prouver _ avec rigueur _ leur validité de vérité !

_ cf ici le Popper bien connu de La Logique de la découverte scientifique ;

et aussi les si fins travaux, pour ce qui concerne plus spécifiquement les démarches des historiens, de Carlo Ginzburg :

Le Fil et les traces, Mythes, emblèmes, traces, Rapports de force : histoire, rhétorique, preuve, A distance, Le juge et l’historien, etc.

Un minimum de culture épistémologique ne fait jamais de mal en pareilles entreprises

pour mieux asseoir qualitativement l’effort de découvrir de l’insu (ou même du caché)…

Ce mercredi 14 octobre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Qui donc est la tante Bibi des lettres de Maurice Ravel à Marie Gaudin ? Voici la réponse…

01juin

Poursuivant plus que jamais, ce samedi 1er juin, mes recherches

sur les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel,

voici que,

après mes découvertes _ déjà surprenantes _

de l’existence des trois sœurs cibouriennes Delouart toutes les trois nommées Marie Delouart,

filles de Gratien Delouart et Sabine Laxague

_ j’ai un moment résisté à reconnaître qu’il s’agissait bien là de trois personnes distinctes

possédant le même nom... _,

puis de l’existence des deux sœurs luziennes nommées toutes les deux Marie Etcheverry,

filles de la seconde Marie Delouart et Jean Etcheverry

_ je suis venu un peu plus vite à reconnaître le fait _,

puis, tout récemment _ le 25 mai dernier, il y a juste une semaine _,

du faire-part de décès (daté du 9 juillet 1932) de Marianne Imatz  _ née à Saint-Jean-de-Luz le 28 octobre 1845, et décédée à Saint-Jean-de-Luz le 9 juillet 1932 _,

l’épouse-veuve de Dominique Hiriart,

me révélant le maillon qui manquait encore entre les ascendants cibouriens Delouart-Etcheverry et les descendants luziens Hiriart-Gaudin _ c’est-à-dire la personne même de Dominique Hiriart, comme étant et le fils de la première Marie Etcheverry-Hiriart (née de la seconde Marie Delouart), en remontant en l’amont du temps ; et le père de Magdeleine Hiriart-Gaudin (la mère à venir du second Edmond Gaudin), en descendant en l’aval des années ; et il fallait absolument pouvoir relier effectivement tout cela : l’aval avec l’amont _,

voici que je viens de découvrir aussi, cet après-midi,

grâce au faire-part de Remerciements (daté du lundi 23 novembre 1936, et publié par la Gazette de Biarritz-Bayonne et Saint-Jean-de-Luz)

consécutif aux obsèques, à Saint-Jean-de-Luz _ le jour précis du décès n’y est pas indiqué… _, de Madame Edmond Gaudin _ née Annette Bibal, le 29 avril 1845, à Saint-Jean-de-Luz _,

faire-part que voici,

qui était bien, en fait, la _ mystérieuse _ « Tante Bibi« 

des lettres _ en octobre 1921, août 1930 et janvier 1933 _ de Maurice Ravel à Marie Gaudin ! :

Mademoiselle Marie GAUDIN ;

Monsieur et Madame Henri COURTEAULT ;

Mademoiselle BIBAL ;

Madame Charles GAUDIN ;

Monsieur et Madame Edmond GAUDIN :

Monsieur et Madame Pierre COURTEAULT ;

Mademoiselle Annie COURTEAULT ;

Parents et alliés ;

Remercient bien sincèrement toutes les personnes qui leur ont fait l’honneur d’assister aux obsèques de

Madame Edmond GAUDIN.

Précisons ici qui est qui

en ce très éclairant faire-part :


Mademoiselle Marie GAUDIN (Saint-Jean-de-Luz, 3 mars 1879 – Saint-Jean-de-Luz, 8 décembre 1976)

est la fille aînée survivante de la défunte,

Madame Edmond Gaudin, née Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 29 avril 1845 – Saint-Jean-de-Luz, novembre 1936),

et la grande amie (luzienne) _ avec sa sœur Jane (parisienne, elle) : voir ci-après _ de Maurice Ravel ;

Madame Henri COURTEAULT

est Jane Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1er octobre 1880 – Paris 17e, 28 mars 1979), épouse _ à Saint-Jean-de-Luz le 22 avril 1908 ; et veuve à venir, l’année qui suit : le 2 novembre 1937 _ de Henri Courteault,

et, sœur cadette de la précédente, l’autre fille survivante de la défunte ;

de même que Monsieur Henri COURTEAULT (Pau, 26 août 1869 – Saint-Jean-de-Luz, 2 novembre 1937)

Henri Courteault, frère de Paul Courteault, couronna sa brillante carrière d’archiviste aux Archives Nationales, à Paris, au poste de Directeur, de 1929 à 1936) _

est le gendre _ unique _ de la défunte ;

Mademoiselle BIBAL _ dont j’ignorais jusqu’ici l’existence _

est la sœur cadette _ ici sans prénom _ de la défunte, Annette Bibal-Gaudin

_ celle-ci et Annette sont en effet les deux filles survivantes des enfants de Pierre Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 5 septembre 1810 – Saint-Jean-de-Luz, 12 septembre 1855) et son épouse Victoire Dupous (Saint-Jean-de-Luz, 9 juin 1822 – ?  _ j’ignore la date de son décès _) ; Pierre Bibal, maître au cabotage, et Victoire Dupous, qui se sont mariés à Saint-Jean-de-Luz le 26 avril 1843, eurent de nombreux enfants (au moins huit), tous nés à Saint-Jean-de-Luz et dont pas mal sont décédés précocement : Jean-Baptiste (1844 – Rochefort, 18 février 1871, matelot) ; Annette (29 avril 1845 – novembre 1936, l’épouse, puis veuve, en 1920, du premier Edmond Gaudin) ; Pascal (1846 ou 47 – ? _ j’ignore la date de son décès : avant 1910 _, le peintre, mari de Dorotea Iburuzqueta, et père du peintre François-Ignace Bibal) ; Marie (1847) ; Léon-Pierre (1849 – 28 avril 1884, peintre lui aussi) ; Justine (1850 – 31 mars 1854) ; Marie (1852 – 13 septembre 1855) ; Marie-Martine (1853 – 15 octobre 1870) ;

j’ignore le rang (et l’année de naissance : 1851 ? 1854 ? 1855 ?) de cette demoiselle Bibal (et « Tante Bibi« ), la seconde et maintenant ultime survivante, en ce mois de novembre 1936, au sein de cette très resserrée fratrie des enfants Bibal-Dupous… _ ;

soit _ et voici l’énigme résolue ! _ la fameuse « Tante Bibi«  _ son prénom n’est pas indiqué ici : elle doit être très âgée (née au plus tard, en 1855, elle a donc autour de 81 ans ; et peut-être est-elle à traiter avec des pincettes : en conclusion de sa lettre à Marie Gaudin, du 20 octobre 1921, Maurice Ravel n’écrit-il pas ceci :

« Je vous embrasse goxoki _ tendrement, en basquetoutes les trois _ Marie Gaudin (née en 1879), la destinataire de cette lettre ; puis la mère de Marie, Annette Bibal-Gaudin (née en 1845) ; et enfin sa nièce Annie Courteault (née en 1913), qui vivent toutes les trois à Saint-Jean-de-Luz : Annie est en effet élève au cours Sainte-Odile à Saint-Jean-de-Luz… _, ainsi que la tante Bibi, si elle s’y prête » (= se laisse embrasser !)… _

que ne manquait pas de saluer, chaque fois un peu malicieusement, dans ses lettres à son amie Marie Gaudin _ cf outre cette lettre du 20 octobre 1921 (page 764 de la Correspondance), celles du 15 août 1930 (page 1250) et du 3 janvier 1933 (page 1300) ; ainsi que les remarques là-dessus en mon article du 27 mars 2019 : _, Maurice Ravel

_ et que j’avais pris, à tort, pour la tante _ certes côté Bibal, et non pas côté Gaudin, ni encore moins côté Ravel-Billac ! _ Dorotea Ibuzurqueta-Bibal, l’épouse de Pascal Bibal, et donc la belle-sœur d’Annette : j’ignore les dates des décès de Pascal Bibal (peintre important, pourtant !) et Dorotea Iburuzqueta-Bibal ; de même que j’ignore celle du décès de cette vieille demoiselle Bibal _ ; mais en un cas comme celui de la belle-sœur Dorotea Iburuzqueta-Bibal, le faire part aurait dit « Madame Bibal« , ou « Madame Pascal Bibal« , ou « Madame veuve Bibal« , et pas « Mademoiselle Bibal« , comme c’est mentionné ici ! ; cette formulation-ci est donc décisive !

et celle-ci pouvait encore moins (!!) être la tante Billac, la chère « tante Gachucha«  de Maurice, née le 15 mai 1824, et décédée avant 1916 (cf la lettre à Marie Gaudin du 20 septembre 1916, page 537 de la Correspondance, qui parle d’elle au passé : l’imparfait) : quel âge aurait donc atteint la tante Gachucha Billac en 1921, 1930 et 1933 ?! : 97 ans, 106 ans, 109 ans… Que ne s’en est-on donc pas rendu compte !

Fin de l’incise.

Et je reprends le commentaire-identification des personnes présentes sur ce faire-part de Remerciements consécutif aux obsèques de novembre 1936… _ ;

Madame Charles GAUDIN

veuve du fils aîné de la défunte, Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 19 novembre 1875 – disparu dans le fleuve Congo, 13 septembre 1910)

est Magdeleine Hiriart-Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875 – Saint-Jean-de-Luz, 15 juin 1968),

la bru _ unique _ de la défunte ;

Monsieur Edmond GAUDIN (Saint-Jean-de Luz, 3 octobre 1903 – Saint-Jean-de Luz, 28 décembre 1988),

fils _ unique _ de Charles Gaudin, l’aîné (Saint-Jean-de-Luz, 1875 – Bimbo, fleuve Congo, 1910) des enfants de la défunte,

et de son épouse Magdeleine Hiriart-Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1875 – Saint-Jean-de-Luz, 1968)

est le premier petit-fils de la défunte ;

et Madame Edmond GAUDIN est Angela Rossi-Gaudin (Trivia, en Ligurie, 12 septembre 1905 – Saint-Jean-de-Luz, 18 décembre 1999), l’épouse _ en 1935 _ de celui-ci 

Monsieur Pierre COURTEAULT (Paris 17e, 21 avril 1910 – Ascain, 15 décembre 2006),

fils de Jane Gaudin et son époux Henri Courteault,

est le second petit-fils de la défunte ;

et Madame Pierre COURTEAULT, née Jeannine Mérigeault (Chamalières, 8 septembre 1917), est l’épouse, à Paris 3e, le 15 juillet 1936, de celui-ci

et Mademoiselle Annie COURTEAULT (Paris 17e, 26 septembre 1913 – Saint-Jean-de-Luz, 21 août 1994)

est la petite-fille _ unique _ de la défunte

_ Maurice Ravel ne manquait jamais de lui faire des cadeaux à l’occasion de fêtes telles que Noël, le jour de l’an, ou son anniversaire. Et le 2 mai 1947, à Neuilly-sur-Seine, Annie Courteault épousera Monsieur Edouard Vidal. Je remarque aussi, au passage, que c’est à Saint-Jean-de-Luz que décèdera Annie Courteault le 21 août 1994…


Avancer dans la recherche

demande de la constance, persévérance et patience,

ainsi qu’un minimum de chance _ et sérendipité _ dans la quête de documents,

ou de témoignages…

Mais on ne trouvera rien

si on se décide pas à se mettre à chercher !!!

avec un bon angle et une bonne envergure de prise…

Et une intuition juste _ et féconde à terme… _  de départ…


Ce samedi 1er juin 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

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