Archives du mois de juin 2024

Un piano, et même mieux, deux pianos, qui crépitent et chantent : Sergei Babayan et Daniil Trifonov dans un éblouissant transcendant « Rachmaninoff for two » !

15juin

Quand la performance virtuose des interprètes galvanise jusqu’aux auditeurs…

Et c’est exactement cela qui vient nous subjuguer-transporter-incendier avec le transcendant flamboyant double album Deutsche Grammophon 486 4805 « Rachmaninoff for two » de Sergei Babayan (Gyumri – Arménie, 1er janvier 1961) et Daniil Trifonov (Nijni-Novgorod – URSS, 5 mars 1991) _ le premier ayant été professeur du second, en 2009, au Cleveland Institute of Music, un lieu et une institution importants… _ enregistré à Vienne en mai et août 2023…

Voici ce que sur son constamment excellent site Discophilia, en un article sobrement intitulé « Fantaisies et danses« , nous en communique la décidément parfaite oreille (et plume) de Jean-Charles Hoffelé :

FANTAISIES ET DANSES

L’oiseau sirine qui encorbelle de ses trilles mystiques la Barcarolle _ d’après des vers de Lermontov _ de la Suite « Fantaisie-tableaux » semble répondre sous les doigts de Sergei Babayan et de Daniil Trifonov _ écoutez ici le podcast de la sublimissime interprétation (!!!) de cette « Barcarolle«  (en 8′ 29) en ce « fabuleux CD« – ci de Babayan et Trifonov _ à celui qu’inventèrent _ écoutez-le donc aussi ici (en un podcast de 7′ 27) par Ginzburg et Goldenweiser, en un enregistrement de 1948, disponible sous le label RDC (Russian Compact Disc)Grigory Ginzburg _ Nijni-Novgorod, 29 mai 1904 – Moscou, 5 décembre 1961 _ et Alexandre Goldenweiser _ Chisinau-Bessarabie, 10 mars 1875 – Moscou, 26 novembre 1961 : ce dernier professeur du précédent au conservatoire Tchaïkovsky de Moscou, et un des fondateurs de l’école moderne russe de piano : « At age six, his talent (celui de Grigory Ginzburg) was recognized and in 1917, when he was 13, he became a student of Alexander Goldenweiser at the Moscow Conservatory. He remained close to Goldenweiser his whole life _ voilà ! _, becoming his assistant after graduation« , a signalé le 1er mai 2017 Maureen Buja en un article intitulé « Forgotten pianists : Grigory Ginzburg« 

Leur conte sélène _ en ce merveilleux CD-ci _ est simplement plus sombre, comme sera plus terrible _ oui, et sublimement véhément... _ de noirceur _ exaltée jusqu’au sublime, voilà ! _ jusque dans l’exaltation centrale La nuit… L’amour _ d’après des vers de Byron _ commencé par un rossignol éperdu _ écoutez-le aussi en ce podcast (d’une durée de 5′ 59) de ce génial CD de Babayan et Trifovov, et subissez-en vous aussi le charme absolu ! Quel génie _ assurément ! _ aura déployé le jeune Rachmaninoff _ l’été 1893, Rachmaninov (Semionovo, 1er avril 1873 – Beverly Hills, 28 mars 1943) a tout juste vingt ans… _ dans cet Opus 5, et comme les deux amis _ Babayan et Trifonov, si magnifiquement complices _ l’entendent _ et l’incarnent aussi splendidement ! _, y infusant des rêves et des contes, rappelant souvent l’univers _ de profonde poésie musicale _ de Nikolai Medtner _ Moscou, 5 janvier 1880 – Londres, 13 novembre 1951.

Ce sera le sommet poétique _ oui ! et je le pense aussi… _ de ces deux disques fabuleux _ absolument ! je partage pleinement cet avis… _ où ils se feront _ ensuite _ athlètes pour la Deuxième Suite, prenant des tempos fous _ sublimement tenus _ pour la Valse (même Vronsky et Babin _ Vitya Vronsky (Eupatoria-Crimée, 22 août 1909 – Cleveland, 28 juin 1992) et Victor Babin (Moscou, 13 décembre 1908 – Cleveland, 1er mars 1972  _ ne filent pas à ce point _ écoutez ici Vronsky et Babin en cette Deuxième Suite Op. 17  en un enregistrement du 22 janvier 1934, pour RCA : d’une durée de 19′ 24 _, ça tricote du diable _ oui _, sans oublier de chanter _ en effet et surtout, bien entendu ! quelle merveille sous ces doigts si inspirés de Babayan et Trifonov ! _, savourant la Romance en sonorités dorées (on croirait une scène d’un film hollywoodien), se déchaînant dans la Tarentelle à nouveau dans ce sombre menaçant qui empoisonnera _ aussi _ leur lecture paroxystique _ géniale… _ des Danses symphoniques.

Sous leurs doigts, l’orchestre ne manque _ en effet _ pas, tout comme pour la transcription inspirée _ oui _ de l’Adagio de la 2e Symphonie réalisée si proche de l’original par Daniil Trifonov, décidément chez lui ici _ oui, oui, oui _ : ses Concertos l’attestaient _ cf mon article « «  du 23 octobre 2019 à propos des deux merveilleux CDs « Departure » (DG 00289 483 5335) et « Arrival«  (DG OO289 483 6617), comportant les 4 Concertos pour piano op. 1, op. 18, op. 30 et op. 40 du compositeur (1873 – 1943) _, ce nouvel album le confirme _ somptueusement…

LE DISQUE DU JOUR

Sergei Rachmaninoff
(1873-1943)


Symphonie No. 2, Op. 27 –
III. Adagio (version pour deux
pianos : Trifonov)


Suite pour deux pianos No. 2, Op. 17


Suite pour deux pianos No. 1, Op. 5 « Fantaisie-tableaux »


Danses symphoniques, Op. 45 (version pour deux pianos)

Daniil Trifonov, piano
Sergei Babayan, piano

Un album de 2 CD du label Deutsche Grammophon 4864805

Photo à la une : les pianistes Daniil Trifonov (à gauche) et Sergei Babayan – Photo : © Julia Wesel 

Une musique _ quasi gratuite : de l’art pour l’art… _ et une interprétation _ phénoménale de virtuosité, mais bienheureusement dénuée du moindre narcissisme ; admirez (et écoutez !) aussi cette vidéo de 47′ 16 de ces Suites n°1 et n°2 pour deux pianos, lors d’un concert donné par Sergei Babayan et Daniil Trifonov à l’Auditorium de Radio-France, à Paris, le 21 mars 2023 : précédant donc de peu leurs enregistrements, à Vienne, de ce double album, aux mois de mai et août suivants… _ qui nous extirpent en toute beauté d’un présent morose, inquiétant, voire nauséabond…

Et sur la virtuosité en musique,

relire les lumineux chapitres « Pour et contre la virtuosité » de Vladimir Jankélévitch, notamment aux pages 109 à 159 de son « Liszt et la rhapsodie _ Essai sur la virtuosité » ; qui comporte aussi cette phrase, à la page 151 : « Que sa marque propre soit le pathétique ou le brio, la virtuosité, chez Rachmaninov, est toujours somptueuse« …

Il est vrai, aussi, que contrairement à ma propre endémique absence de tropisme envers la musique russe _ en général : il y a aussi quelques heureuses exceptions… Mais c’est probablement d’abord par ignorance… _j’aime beaucoup Rachmaninov.

Cf le significatif aveu conclusif de mon article du 13 octobre 2018 «  » : « J’aime Rachmaninov, mais oui…« …

Ce samedi 15 juin 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Florent Schmitt, entre l’oeuvre et l’homme (1870 – 1958) : le chef d’oeuvre de « La Tragédie de Salomé » (1907) en une superlative stupéfiante interprétation d’Alain Altinoglu dirigeant son orchestre de Francfort…

14juin

La vie de Florent Schmitt (Blâmont, 28 septembre 1870 – Neuilly-sur-Seine, 17 août 1958) déforme probablement injustement nos regards rétrospectifs sur son œuvre riche et superbe de compositeur français…

À son actif, cependant,

ce chef d’œuvre flamboyant que, et plus que jamais, demeure « La Tragédie de Salomé« , Op. 50, de 1907 ;

ainsi que vient nous le rappeler ce mois de juin le spendide (!!!) CD Alpha 941, du Frankfurt Radio Symphony placé sous la brillantissime direction du magistral Alain Altinoglu (Paris, 9 octobre 1975) _ un CD enregistré à Francfort en janvier 2021… Et admirez ici cette très significative vidéo de l’enregistrement (d’une durée de 63′ 24)

De cet opus magnifique de Florent Schmitt _ ami de Ravel… _,

ma discothèque personnelle possède déjà au moins 4 CDs :

_ le CD 2 du coffret de 22 CDs « Paul Paray – Detroit Symphony Orchestra – The Mercury Masters volume 2 : 1958 – 1962 » par le Detroit Symphony Orchestra dirigé par Paul Paray _ enregistré à Detroit en mars 1958

_ le CD 10 du coffret de 14 CDs « Jean Martinon – The Late years Erato and HMV Recordings 1968 – 1975 » par l’Orchestre National de l’ORTF dirigé par Jean Martinon _ enregistré à Paris, salle Wagram, en octobre 1974

 

_ le CD Apex 2564 62764-2, de l’Orchestre Philharmonique de Radio France dirigé par Marek Janowski _ enregistré à Paris en octobre 1988 ; et écoutez ici ces podcasts 1 et 2 (d’une durée respectivement de 26′ 31 et 13′ 51)

_ le CD Hyperion CDA 67599, du BBC National Orchestra dirigé par Thierry Fischer _ enregistré à Swansea en octobre 2006

Double bravissimo !

Tant pour cette œuvre elle-même, stupéfiante, déjà, du compositeur Florent Schmitt

que pour cette brûlante renversante interprétation-ci du maestro Alain Altinoglu !

Un CD par conséquent indispensable !

Ce vendredi 14 juin 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

D’une écoute de Ravel à une écoute de Debussy : le constat d’impression d’une raréfaction des directions et respirations dynamiques qu’apporte le mouvement vivace des danses : un fascinant CD « Debussy – Images » de Saskia Giorgini…

13juin

Passer de l’écoute de Ravel à l’écoute de Debussy, c’est ressentir une impression de raréfaction des directions et respirations qu’apportent les danses dans leurs musiques respectives…

Et cela même en une interprétation aussi lumineuse et vive, hyper-vivante, que celle de l’excellentissime Saskia Giorgini en son somptueux _ quel jeu de la pianiste ! quel piano Bösendorfer, et quelle prise de son ! _ CD « Debussy – Images – Saskia Giorgini« , le CD Pentatone PTC 5187 206 _ enregistré à Raiding, en Autriche les 2 et 3 décembre 2023

Et voici ce qu’en a dit avant-hier 11 juin Jean-Charles Hoffelé, en son article intitulé, justement, « D’une danse l’autre« …

D’UNE DANSE L’AUTRE

Le piano impressionniste, ce lieu par excellence _ oui, oui… _ de la couleur _ musicale _, Saskia Giorgini l’a déjà illustré dans son _ excellent ! _ album Respighi où elle accompagnait Ian Bostridge. _ cf mon article «  » en date du 26 janvier 2022.

Sur un grand Bösendorfer boisé, elle trouve les chemins du mystère debussyste _ sans nul doute : un mystère exploré… La touche est pure, l’harmonie profonde _ oui _, les phrasés très dits pour les deux Arabesques, le splendide Nocturne, ne s’effaceront pas au long des chefs-d’œuvre en triptyque _ « Pour le piano« , « Estampes« , « Images I » et « Images II« … _ qu’elle regroupe _ dans le programme choisi de ce CD _ avec art.

C’est le cœur même du laboratoire Debussy _ oui ! _, le lieu des audaces _ expérimentées en totale liberté par le compositeur _ sous le masque de l’innocence, de la diffraction _ lumineuse, spectrale explorée _ de l’harmonie _ voilà _ par l’excuse picturale, tout ce modernisme dans une palette de peintre, elle l’effuse _ enchantée… _ avec une rigueur embellie par la poésie d’un toucher assez inouï _ parfaitement !

La bacchanale pleine d’embruns _ choisie pour le final de ce programme _ de L’Isle joyeuse semble répondre à l’allégresse _ inaugurale, elle _ de la Tarentelle styrienne, manière d’encadrer _ voilà _ l’exposition de ces toiles majeures _ quasi sans mouvements _ par deux danses _ voilà ; alors que chez Ravel, lui, tout littéralement danse…

Disque d’une beauté troublante _ oui !.. _, si bien enregistré _ en effet ! Mais c’est là quasi la règle permanente chez Pentatone… _, j’image _ au sens propre ? _ déjà sous ses doigts inventifs les haïkus _ percutants en leur implacabilité _ des Préludes, les rêveries des « suites », les feux d’artifice des Etudes, puisse-t-elle m’exaucer.

Regret, que le minutage très plein ne lui ait pas autorisé les trois Images oubliées. _ l’ultime triptyque debussyste…

LE DISQUE DU JOUR

Claude Debussy (1862-1918)


Danse (Tarentelle styrienne), CD 77
2 Arabesques, CD 74
Nocturne en ré bémol majeur, CD 89
Pour le piano, CD 95
Estampes, CD 108
Images, 1ère série, CD 105
Images, 2ème série, CD 120
L’Isle joyeuse, CD 109

Saskia Giorgini, piano

Un album du label Pentatone PTC5187206

Photo à la une : la pianiste – Photo : © Christine Reichling

Un très beau et fascinant CD…


Ce jeudi 13 juin 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

« Ravel, le Boléro de la vie » : un superbe portrait de Maurice Ravel compositeur en 5 podcasts de chacun 30′ par Radio-France…

12juin

L’ami Manuel Cornejo m’informe très opportunément que France Musique vient de mettre en ligne lundi dernier 10 juin un passionnant « podcast » de 5 émissions de 30mn chacune, soit 2h30 en tout, autour de Maurice Ravel (Production : Saskia de Ville ; Réalisation : Davy Travailleur ; Collaboration éditoriale, documentation sonore & rédaction du site : Aline Bieth), intitulé Ravel, le Boléro de la vie,

avec de brillants compétents invités : Bertrand Chamayou ; Christophe Chassol ; Manuel Cornejo ; Lucie Kayas ; François Le Roux, baryton ; Stéphane Lerouge ; Dr Bernard Mercier ; Raphaël Merlin ; Anne Million Fontaine ;

et comportant de passionnants très précieux extraits d’archives de l’INA : Édouard Ravel (1878-1960), frère cadet du compositeur ; Hélène Jourdan-Morhange ; Roland-Manuel ; Manuel Rosenthal ; Marguerite Long ; Lily Laskine ; Marcel Marnat ; Alexandre Tharaud ; Anne Queffelec ; etc. ;

des lectures de textes, documents, correspondances par Vladislav Galard ;

et, bien entendu, de nombreux extraits musicaux.

Voici donc 5 commodes liens pour écouter ici chacun d’eux, de 30′ chacun :

1/5 Jeux basques

2/5 La musique pour seule maîtresse

3/5 À gauche toute !

4/5 Un dandy outre-Atlantique

5/5 Un corps égaré

Dans l’épisode n°1, chacun pourra corriger une inexactitude sur un membre important du cercle des Apaches : il ne faut pas confondre le sculpteur Cyprien Godebski (1835-1909)et son fils Cipa Godebski (1875-1937)…

Excellentes écoutes !

Ce mercredi 12 juin 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Et encore une autre superbe, mais étonnamment méconnue jusqu’ici de moi, interprétation du sublime « Tombeau de Couperin » : celle de Kathryn Stott, en 1990…

11juin

En forme de nouvelle suite à mon article «  » du 7 juin dernier,

il me faut ici rapporter l’excellente et charmante surprise qu’a constituée, après la réception ce matin même d’une commande mienne _ du CD Alto 1279  « Ravel – Gaspard de la Nuit – Pavane pour une infante défunte – Le Tombeau de Couperin – Jeux d’eau – Sonatine« , une réédition Alto, en 1994, d’un CD Conifer, enregistré à Bristol au mois de juillet 1990 _, l’écoute enchantée de ce « Tombeau de Couperin » _ écoutez-le ici (d’une durée de 24′ 20) _ par les doigts souples, alertes et remarquablement clairs de la magnifique pianiste Kathryn Stott (Nelson -Lancashire, 10 décembre 1959), et tout spécialement de ce « Rigaudon« -ci, si luzien : dédié par Maurice Ravel à ses camarades de jeux d’enfance, et puis d’adolescence, lors de ses vacances d’été à Ciboure et Saint-Jean-de-Luz, Pierre et Pascal Gaudin…

J’avais étonnamment jusqu’ici ignoré l’existence de cette remarquable interprète _ notamment de la musique française, et tout particulièrement de Ravel… _, et c’est tout récemment que je l’ai découverte, probablement en un article du Blog de Jean-Pierre Rousseau, qui citait laudativement ces très marquants enregistrements Ravel-là de cette magnifique pianiste britannique, Kathryn Stott, si justement ravelienne en son tactus à la fois précis, enlevé, ainsi que fin, clair, déterminé aussi, et délicat, qui saisit si bien, à mon oreille du moins, l’allure dansante et fondamentalement heureuse, hommage tendrissime à la jeunesse et à la vie _ de ses amis Gaudin Pierre et Pascal _, de ce bondissant « Rigaudon » basque, et même luzien, de Maurice Ravel, qu’elle, Kathryn Stott, en 1990, à Bristol, a su de même qu’après elle un Alexandre Tharaud, en 2003, à Paris, et un Martin James Bartlett, en 2023, à Londres ; voir là-dessus l’inventaire récapitulatif (avec accès à huit podcasts de ce luzien « Rigaudon« ) de mon article du 21 mai dernier «  » dans lequel je passais en revue 18 interprétations de cet exaltant « Rigaudon« , si luzien, du « Tombeau de Couperin«  ; et depuis ce 31 mai, j’ai découvert aussi, grâce à l’envoi par l’ami Manuel Cornejo du passionnant CD « Ravel à Gaveau«  (cf mon article du 7 juin « « ), la très heureuse interprétation, aussi, de David Lively, en 2016, à Paris… _, si bien saisir et servir au disque…

Kathryn Stott en 1990, Alexandre Tharaud en 2003, David Lively en 2016, Martin James Bartlett en 2023,

dans le merveilleux « Rigaudon  » du sublimissime « Tombeau de Couperin« , l’ultime œuvre pour piano seul du corpus musical de Maurice Ravel…

Et maintenant que nous réserve musicalement _ par exemple de la part du pianiste franco-suisse François-Xavier Poizat, dont m’a parlé Thomas Dolié le samedi 11 mai dernier… _, à nous mélomanes, l’année 2025, pour le 150ème anniversaire de la naissance, le 7 mars 1875, à Ciboure, de Maurice Ravel ?  

Passionnément à suivre…

Ce mardi 11 juin 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

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