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Cyrille Dubois, ténor : décidément parfait…

17mai

En forme de confirmation de satisfaction, en mon article du dimanche 19 mars dernier : « « ,

voici ce mercredi 17 mai un article tout à fait laudatif, lui aussi, « Cyrille Dubois, ou les charmes du ténor de grâce« ,

sous la plume de Catherine Scholler, sur le site de ResMusica :

Cyrille Dubois, ou les charmes du ténor de grâce

Cyrille Dubois et l’Orchestre national de Lille, sous la baguette de Pierre Dumoussaud, proposent un récital d’airs d’opéra français de la deuxième moitié du XXᵉ siècle, en grande partie oubliés.

Savez-vous ce qu’est un ténor de grâce à la française ? Héritier du haute-contre, c’est un ténor léger, agile, aux aigus faciles _ cf les rcherches et mises en pratique de Michael Spyres _, qui privilégie pour ceux-ci l’emploi de la voix de tête (fausset) à la voix de poitrine, et qui officia principalement dans l’opéra comique pendant la deuxième moitié du XXᵉ siècle. L’évolution de l’écriture des compositeurs porta peu à peu les goûts du public vers des voix plus puissantes _ c’est en effet là un phénomène on ne peut plus décisif… _ et des intrigues plus conséquentes, jusqu’à sa quasi-disparition. C’est donc tout à l’honneur de Cyrille Dubois et du Palazzetto Bru Zane de nous en restituer les subtilités _ voilà.

Encore fallait-il, pour ressusciter ce genre de voix, faire renaître _ aussi _ son répertoire. Il y a bien, dans les dix-sept titres proposés _ sur ce CD de Cyrille Dubois _, quelques tubes (l’air de Tonio de la Fille du régiment et ses neuf contre-ut, celui de Gérald de Lakmé) quelques extraits d’œuvres qu’on a eu le plaisir d’entendre au détour d’un concert ou d’un CD (la Jolie fille de Perth, la Dame blanche, le Timbre d’argent), des pages dues à des compositeurs que l’on connaît de nom, mais dont on n’a jamais entendu la moindre note (Clapisson, Godard) et enfin des ouvrages dont on n’a jamais entendu parler, pas plus que ceux à qui ils sont dus. Qui a déjà, par exemple, entendu parler de et de sa Myriane ? Ou de Charles Luce-Varlet et de l’Élève de Presbourg ?

De ces choix éclectiques et passionnants _ mais oui ! que de délicieuses découvertes ! _ est né un enregistrement qui allie l’agrément de la découverte à l’intelligence de l’exécution _ mais oui : Cyrille Dubois est parfait ! _, et qui suscite autant de questions que de rêveries. Pourquoi donc le Mignon d’ est-il passé à la postérité, et pas son Raymond ? Que valent la Barcarolle d’Auber ou les Mousquetaires de la Reine de Halévy ? Que se cache-t-il derrière le titre loufoque de Gibby la cornemuse ?

Pour son premier récital solo avec orchestre _ voilà ; et pas seulement un piano _, Cyrille Dubois relève le défi de la rareté et de l’exactitude du style _ oui _ avec panache _ voilà. Son timbre, haut placé, facile, brillant, est idéal _ parfaitement ! La diction claire _ oui _, l’élégance de l’interprétation _ oui _, dessinent un interprète parfait _ voilà ! c’est dit _ pour ce répertoire, tout à fait à même de le faire revivre. Sous la baguette de , l’ n’est pas en reste. A la fois délicat et vif, ses couleurs ont la même poésie rêveuse _ oui _ que celle du ténor.

So romantique !

Daniel-François-Esprit Auber (1782-1871) : extrait de La Barcarolle.

Benjamin Godard (1849-1895) : extrait de Pedro de Zalamea.

Ambroise Thomas (1811-1896) : extraits de Le roman d’Elvire, Mignon, Raymond.

François-Adrien Boieldieu (1775-1834) : extrait de la Dame blanche.

Fromental Halévy (1799-1862) : extrait de Les mousquetaires de la reine.

Louis Clapisson (1808-1866) : extraits de Gibby la cornemuse, Le code noir.

Gaetano Donizetti (1797-1848) : extrait de La fille du régiment.

Charles Gounod (1818-1893) : extrait de Le médecin malgré lui.

Charles-Luce Varlet (1781-1853) : extrait de L’élève de Presbourg.

Georges Bizet (1838-1875) : extrait de La jolie fille de Perth.

Théodore Dubois (1837-1924) : extrait de Xavière.

Charles Silver (1868-1949) : extrait de Myriane.

Léo Delibes (1836-1891) : extrait de Lakmé.

Camille Saint-Saëns (1835-1921) : extrait de Le timbre d’argent.

Cyrille Dubois, ténor ; Orchestre National de Lille, direction : Pierre Dumoussaud.

1 CD Alpha….

Enregistré en juillet 2021 à l’Auditorium du nouveau siècle, à Lille.

Notice de présentation en français, anglais et allemand.

Durée : 68:46

Un récital tout à fait délicieux…

Ce mercredi 17 mai 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

Pour préciser et approfondir un peu l’écoute du très intéressant CD « François Couperin _ the Sphere of Intimacy » de Christophe Rousset et ses Talens lyriques, avec le ténor Cyrille Dubois…

25avr

Afin d’approfondir un tantinet davantage l’écoute du très intéressant CD « François Couperin _ the Sphere of Intimacy » de Christophe Rousset et ses Talens lyriques, avec le ténor Cyrille Dubois _ soit le CD Aparté AP 281 _,

telle que commencée à aborder le 14 janvier dernier en un article mien un peu trop rapide :

« « ,

je désire y revenir davantage,

avec cet article-ci, en date du 20 avril dernier, lui,

et intitulé « Couperin chez lui« ,

de Jean-Charles Hoffelé sur son site Discophilia :

COUPERIN CHEZ LUI

« Couperin intime » ? Pléonasme _ bien sûr ! Quasi tout chez Couperin ressort du soi _ le plus intime et délicat _, d’un univers intérieur qui entrouvre _ légèrement, sans la moindre pesanteur aucune, jamais… _ sa porte, clavecin, orgue, il faudra y ajouter les Airs, si rarement _ en effet _ enregistrés, non pas coulés dans l’abondante source des airs de cour, mais bien dans un autre registre _ plus personnel _, même si les airs sérieux en reprennent parfois les canons, Couperin jouant la carte du simple _ oui _ contre les raffinements qui les avaient envahis.

Rien de plus naturel, de plus évident, que les six Airs sérieux mâtinés de références antiques, on s’imagine bien devant le ton intime que leur donne Cyrille Dubois, Couperin les chantant, s’accompagnant lui-même au clavecin. C’est_ très _  heureux de les chanter ainsi, sans maniérisme jusque dans les ornements qui décorent la délicate Brunette (« Zéphire, modère en ces lieux »), couchant les notes dans les jolies poésies des textes, de les faire sans façon.

Les pièces de clavecin tirées du cahier que Ballard publia en 1707 leur font écho, portraits _ eux aussi délicats _ avant tout de silhouettes féminines brossés avec poésie et tendresse _ voilà _ par Christophe Rousset, comme pour faire écho aux poésies galantes des Airs, les trois Sonates fatalement moins ; tout écrites pour la chambre qu’elles soient, elles élargissent _ davantage _ l’horizon, le petit clairon de hautbois et de violon de La Steinkerque surtout, mais elles sont si finement _ oui _ réalisées et s’ajoutent avec bonheur à une discographie plutôt mince, mettant un émouvant nuancier à ce disque soudain versicolore _ voilà.

LE DISQUE DU JOUR

The Sphere of
Intimacy

François Couperin
(1668-1733)


Les Pèlerines. Air sérieux, 1712
« Qu’on ne me dise plus ». Air sérieux, 1697
La Sultane. Sonate en quatuor, ca. 1695
« Doux liens de mon cœur ». Air sérieux, 1701
La Pastorelle. Air sérieux, 1711
« Doux liens de mon cœur ». Air sérieux, 1701
La Superbe. Sonate en trio, ca. 1695
Les Solitaires. Air sérieux, 1711
Brunette. Air sérieux, 1711
La Steinkerque. Sonate en trio, ca. 1692
« Souvent dans le plus doux sort ». Air à boire
etc.

Cyrille Dubois, ténor
Les Talens Lyriques
Christophe Rousset, direction

Un album du label Aparté AP281

Photo à la une : le claveciniste et chef Christophe Rousset –
Photo : © Eric Larrayadieu

Une très réussie réalisation discographique, donc…

 

Ce mardi 25 avril 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

L’extraordinaire réussite du chef John Nelson en sa réalisation discographique berliozienne de ces chefs d’oeuvre que sont « Roméo et Juliette » et « Cléopatre » : un très réjouissant éblouissement…

15avr

Le degré éblouissant de réussite musicale du double CD Erato 5054197481383 de la magnifique _ et très originale _ symphonie dramatique « Roméo et Juliette » et de la percutante et frémissante scène lyrique « Cléopatre » d’Hector Berlioz, sous la direction électrisante de vie, en même temps qu’infiniment délicate, claire et juste, du chef d’orchestre John Nelson,

a quelque chose de très surprenant et formidablement réjouissant à la fois,

qui nous emporte…

Comme si nous redécouvrions en leur vérité musicale la plus intense et la plus profonde ces deux formidables chefs d’œuvre de Berlioz qui nous ont pourtant déjà enchantés…

Que l’on écoute ainsi le presque inaugural _ soit la plage 3 du premier CD de ce double album Erato _ sublime « Premiers transports que nul n’oublie » de Joyce DiDonato _ ici en sa prise en concert public à Strasbourg le 7 juin 2022 _ de « Roméo et Juliette« , pour un tout premier avant-goût de cette si merveilleusement  réussie interprétation collective de l’œuvre :

la direction dynamique, fluide, inspirée, claire, souple, tellement juste, de John Nelson _ idéal berliozien dans chacune de ses réalisations ! _,

à la tête d’un hypersensible vivant et délicat à la fois Orchestre Philharmonique de Strasbourg,

le Coro Gulbenkian et le Chœur de l’OnR _ au rôle si important dans cette œuvre (de « symphonie dramatique » riche et complexe (en même temps qu’évidente et si naturelle…), de Berlioz _,

et bien sûr les superbes chanteurs solistes que sont la mezzo-soprano Joyce DiDonato, le ténor Cyrille Dubois _ qu’on écoute les 2′ 44 de son idéal (quel jeu ! quelle diction ! quel charme !) « Scherzetto de la reine Mab«  à la plage 5 du premier CD... _ et le baryton Christopher Maltman…

Ce dont rend très bien compte l’excellent détail de l’article de Charles Sigel, le 7 avril dernier, sur le site de ForumOpéra.com

pour ce qui concerne la « Cléopatre » extraordinaire, elle aussi _ un must discographique ! _, du second CD de ce double album, dans l’interprétation-incarnation absolument superlative (!!!) _ au moins au niveau de celles de la merveilleuse Janet Baker _ de Joyce DiDonato…

Un généreux double album indispensable…

Ce samedi 15 avril 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Cyrille Dubois, ténor de grâce, dans le très riche et délicieux CD « So romantique ! » d’airs d’opéras romantiques français à re-découvrir et goûter : un régal…

19mar

C’est à la fois un timbre de voix et un répertoire opératique guère fréquenté(s) présentement,

qu’avec son très grand talent l’excellent ténor « de grâce » Cyrille Dubois, en un CD un peu rapidement intitulé « So Romantique !«  le CD Alpha 924 : very charming ! : écouter (et regarder) ici par exemple l’air (de 2′ 38) « Ah ! Vive Dieu !.. Suprême puissance« , de l’opéra « Le Roman d’Elvire« , en 1860, d’Ambroise Thomas (1811 – 1896)…_, avec l’Orchestre National de Lille sous la direction de Pierre Dumoussaud, vient nous offrir avec un récital d’airs extraits d’Opéras français créés entre 1825 _ »La Dame blanche » de François-Adrien Boieldieu (1775 – 1834), pour le plus précoce de cette sélection _ et 1913 _ « Myriane » de Charles Silver (1868 – 1940), pour le plus tardif… _ ;

ce qui justifie pleinement _ déjà par les dates des œuvres ici abordées via ces beaux airs (et leur superbe interprétation par le décidément parfait Cyrille Dubois _ l’obtention du label du Palazzetto Bru-Zane,

le _ bien connu très fécond re-découvreur d’excellentes musiques parfois injustement négligées ou carrément oubliées, d’entre 1780 et 1924 (le décès de Gabriel Fauré) du répertoire français… _ Centre de Musique Française Romantique _ situé en plein cœur de Venise…

Un régal…

Ce dimanche 19 mars 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

Ecouter les mélodies avec piano de Nadia Boulanger (1887 – 1979) : quel(s) chanteur(s) et quel(s) pianiste(s) choisir en CD ?

14mar

Aux pages 93 à 123 de son passionnant « L’Autre XXe siècle musical« , au chapitre intitulé « Nadia Boulanger la grande « Mademoiselle »« ,

Karol Beffa _ cf aussi la vidéo de mon entretien avec lui à la Station Ausone le 25 mars 2022 ; ainsi que mon article, en suivant, « « , du jeudi 7 avril 2022… _ met brillamment en valeur l’œuvre superbe _ et bien trop prématurément interrompue, après 1921, par elle, Nadia, qui la jugeait « inutile« , auprès de l’œuvre de sa sœur Lili !.. _ de Nadia Boulanger (Paris, 16 septembre 1887 – Paris, 22 octobre 1979).

Jusqu’ici, ma discothèque personnelle ne comportait, en matière de Mélodies de la composition de Nadia Boulanger, que le très beau CD « Lili & Nadia Boulanger, Mélodies« , par les épatants Cyrille Dubois, ténor _ magnifique interprète ! Cf aussi son coffret Fauré Aparté AP 284 ; et sur celui-ci, notamment mon article du 3 juin 2022 : « «  _, et Tristan Raës, piano, soit le CD  Aparté AP 224, enregistré au Palazzetto Bru-Zane, à Venise, les 8 et 9 mars 2018.

Et de ce très réussi CD de Cyrille Dubois et Tristan Raës consacré aux Mélodies avec piano des sœurs Boulanger,

se reporter à ce qu’en ont dit deux de mes articles, en date du 26 février 2020 « « , et du 2 mars 20220, « « …

Or voici que vient ces jours-ci de paraître, pour le label Harmonia Mundi, un très intéressant triple album _ complet ! Et son intitulé même le proclame ! _, intitulé, lui, « Les Heures claires – The Complete Songs – Nadia & Lili Boulanger« ,

l’album HMM 902356.58, par, surtout, Lucile Richardot, mezzo-soprano, et Anne de Fornel, piano _ mais aussi Stéphane Degout, baryton, Raquel Camarinha, soprano, Sarah Nemtanu; violon et Emmanuelle Bertrand, violoncelle… _, enregistré à Boulogne-Billancourt aux mois de février et juin 2022 _ et au passage, on peut remarquer que l’ordre de mention des deux sœurs Boulanger, a été ici inversé : Nadia, l’aînée (Paris, 16 septembre 1887 – Paris, 22 octobre 1979), passant cette fois (voire désormais ?..) avant sa cadette Lili (Paris, 21 août 1893 – Mézy-sur-Seine, 15 mars 1918).

Faut-il y voir, je me le demande, quelque impact-résurgence, non explicite certes dans la notice de présentation du livret, ni encore moins revendiqué, de l’article consacré à Nadia Boulager en le très important « L’Autre XXe siècle musical«  de l’ami Karol Beffa ?..

Sur lequel triple album « Les Heures claires – The Complete Songs – Nadia & Lili Boulanger« , donc, vient aussi de paraître, hier 13 mars, sur le site Discophilia et sous la plume de Jean-Charles Hoffelé, l’article suivant, intitulé « Sisters » :

SISTERS

Côté compositeur, au chapitre Boulanger, Lili éclipsa Nadia, cette dernière s’effaçant _ très volontairement _ devant le génie trop intense de sa cadette _ comme l’a excellemment souligné Karol Beffa en son livre pré-cité… Injustice consentie _ et même fièrement assumée, en effet ! _ par l’intéressée.

Le grand bouquet de mélodies qui emplit le premier disque et ouvre le second de ce bel album _ triple _, dont le recto fait voir les deux amies dansant au bord de la mer d’Edvard Munch (Danse sur la plage, 1900), atteste pourtant _ et sans conteste aucun _ d’un talent considérable. Une touche de sombre écarte l’ombre de Fauré, le chromatisme arde un expressionisme que la mélodie française évitait volontiers, et une expansion de l’émotion et de la durée (Écoutez la chanson bien douce : six minutes passées, géniale conversion en notes des mots de Verlaine) que Lili pratiquera dans une moindre mesure avec son opus majeurs Clairière dans le ciel, indiquent bien que Nadia empêcha _ voilà _ son génie. Plus qu’un souvenir, presque un regret, paraît dans son opus ultime, Vers la vie nouvelle, pour le seul piano _ à la plage 15 du premier de ces trois CDs.

Dans les trente-huit mélodies (y compris le cycle Les Heures claireécrit à quatre mains avec l’ami-amant Raoul Pugno) s’insèrent _ à la plage 11 du premier de ces trois CDs _ les haïkus des Trois Pièces pour violoncelle et piano, qu’Emmanuelle Bertrand joue comme une voix humaine, merveilles jusque dans le Vif un peu chinois ! Le timbre de sa grande caisse fait écho au mezzo ambré, sombre, de Lucile Richardot et au baryton enveloppant de Stéphane Degout.

Grande coda dédiée à Lili. Le troisième disque bute pourtant _ et c’est dommage ! _ sur le choix de confier Clairières dans le ciel à une soprano. La tessiture tendue éprouve Raquel Camarinha, soulignant que le cycle est écrit (et de sens premier les poèmes de Francis Jammes itou) pour un homme (le narrateur, Jammes lui-même), en fait un ténor avec aigu, Eric Tappy hier, Cyrille Dubois aujourd’hui _ oui ! Cf mes deux articles cités ici même plus haut _ l’ont affirmé.

Les autres mélodies, plus rares, retrouvent Lucile Richardot et Stéphane Degout, les petits poèmes à deux instruments, violon ou violoncelle sont sublimées par Sarah Nemtanu et Emmanuelle Bertrand dans les paysages, les évocations que le piano d’Anne de Fornel aura dispensés au long de ce voyage entre la rue Ballu et les Maisonnettes de Gargenville.

LE DISQUE DU JOUR

Nadia Boulanger (1887-1979)


Mon cœur
Écoutez la chanson bien douce
Soleils couchants
Allons voir sur le lac d’argent (pour 2 voix)
Versailles
Un grand sommeil noir
Ilda
Mon âme
Poème d’amour
Cantique
Heures ternes
Chanson
Soir d’hiver
Doute
Au bord de la route
J’ai frappé
Extase
Aubade
Désespérance
Élégie
La Sirène*
O, schwöre nicht
Was will die einsame Thräne
Ach! die Augen sind es wieder
Prière*
Le Beau Navire
La Mer
L’Échange
Le Couteau
Chanson

3 Pièces pour violoncelle et piano
Vers la vie nouvelle, pour piano seul
Petites pièces, pour piano seul

Nadia Boulanger (1887-1979) / Raoul Pugno (1852-1914)


Les Heures claires

Lili Boulanger (1887-1979)


Attente
Reflets
Le Retour
Dans l’immense tristesse
Clairières dans le ciel*, cycle de 13 mélodies

Pièce, pour violon et piano
Nocturne, pour violon et piano
Introduction et Cortège, pour violon et piano
D’un matin de printemps, pour violon et piano
D’un soir triste, pour violoncelle et piano (arr. Nadia Boulanger)

Lucile Richardot, mezzo-sopano
Stéphane Degout, baryton
*Raquel Camarinha, soprano
Anne de Fornel, piano
Emmanuelle Bertrand, violoncelle
Sarah Nemtanu, violon

Un album de 3 CD du label harmonia mundi HMM 902356.58

Photo à la une : Edvard Munch, Danse sur la plage, 1900 (détail de la couverture) – Photo : Prague, National Gallery

Alors qu’en penser ?..

Qu’en est-il de ces diverses interprétations par ces divers interprètes des Mélodies de Nadia et Lili Boulanger ?..

En tout cas, au moins une étape marquante dans le panorama révisé-rénové des belles interprétations des délicates et raffinées Mélodies françaises

Ce mardi 14 mars 2023, TItus Curiosus – Francis Lippa

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