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Retour à la famille du luzien Charles Gaudin (1841 – 1897) et son épouse haspandar Louisa Schlaegel (1850 – 1929)

17fév

Suite à un coup de fil d’une de leurs descendantes,

je reviens à la famille mi-luzienne, mi-haspandar, de Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, le 12 septembre 1841 – Saint-Jean-de-Luz, 9 novembre 1897)

et son épouse _ ils se sont mariés à Hasparren le 30 septembre 1874 _ Louisa Schlaegel (Hasparren, 28 janvier  1850 – Hasparren, 19 août 1929) _ ils ont eu sept enfants ; et Louisa, remarquable pianiste, possédait 9 pianos…

J’ai commencé par adresser à ma charmante correspondante téléphonique les liens suivants à d’anciens articles pouvant l’intéresser,

et susceptibles de former une base pour d’ultérieures recherches concernant les cousinages cibouro-luziens _ côté Hiriart-Gaudin _ de Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917) et son fils Maurice Ravel (Ciboure, 7  mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) :

À suivre !!!

Ce jeudi 17 février 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un bilan prospectif afin de progresser dans la recherche des cousinages luziens (et cibouriens) de Maurice Ravel, à partir de la descendance de Gratien Delouart (1748 – 1798)

07oct

Mon déplacement, hier mercredi 6 octobre 2021, à Saint-Jean-de-Luz, m’a fait ragaillardir mon désir d’approfondir ma recherche des cousinages basques de Maurice Ravel, tant à Saint-Jean-de-Luz qu’à Ciboure, à partir de la descendance multiple de Gratien Delouart (Ciboure, 1er mai 1748 – Ciboure, 21 août 1798) et son épouse Sabine Laxague (Ciboure, 24 novembre 1752 (ou peut-être 1745 si l’on se fie à son acte de décès) – Ciboure, 27 février 1845).

Voici donc 2 courriels que je viens d’adresser à un correspondant luzien, passionné d’histoire, et membre de la très remarquable Association Jakintza, dont le siège se trouve à Ciboure, dans la maison natale de Maurice Ravel, Quai Maurice Ravel…

Le premier :
Voici quelques liens commodes à certains de mes articles de recherche des cousinages méconnus de Maurice Ravel (Ciboure, 1875, Paris 1937), via la descendance du cibourien Gratien Delouart (Ciboure, 1748 – Ciboure, 1798), l’arrière-grand-père maternel de la mère de Maurice Ravel, Marie Delouart (Ciboure, 1840 – Paris, 1917) :
Marie Delouart étant la fille de Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874), elle-même fille aînée de Marie-Baptiste Delouart (Ciboure, 29 juin 1882 – Ciboure, 28 août 1855), elle-même fille aînée de Gratien Delouart et Sabine Laxague.
 
D’une part, 5 articles précisant un peu le détail de ces recherches,
en date des
Je peux aussi y adjoindre cet article précisant l’historique de mon goût personnel pour les correspondances privées, et l’exceptionnelle richesse d’informations que recèlent les détails des récits de la vie quotidienne pour qui apprend à les lire, les remarquer, les connecter entre eux, par sérendipité, et à en tirer d’irremplaçables données factuelles, inaperçues des chercheurs jusque là, faute d’une telle attention chercheuse hyper-curieuse et un peu savante… :
… 
Et d’autre part, 2 articles de récapitulation commodes,
en date des
_ 2 septembre 2020 :
 
La pandémie du Covid ne m’a hélas pas permis de continuer à explorer méthodiquement les registres des archives municipales de Ciboure, consultables dans la toute petite pièce attenante à l’Accueil de la Mairie de Ciboure.
Et c’est là un travail qui demande une attention patiente très précise et très assidue.
À poursuivre plus tard, par conséquent.
Et c’est passionnant d’avancer, pas à pas ; par paliers progressifs de découvertes…

Puis le second :
Voici aussi quelques précisions sur la descendance de Gratien Delouart (Ciboure, 1748 – Ciboure, 1798) et son épouse Sabine Laxague (Ciboure, 1745 – Ciboure, 1845),
ancêtres maternels cibouriens de Maurice Ravel :
 
d’une part à Ciboure pour 
 
1) Marie-Baptiste Delouart n° 1 (Ciboure, 29 juin 1782 – Ciboure, 28 août 1855),
épouse, à Ciboure le 14 septembre 1814, du cibourien Jacques Billac (Ciboure, 1772 ou 1774 – Ciboure, 11 mars 1839)
_ mariage dont est issue Gachucha Billac (Ciboure, 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 1902), la grand-tante et marraine de Maurice Ravel,
domestique-gouvernante des 7 enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz ;
Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874),
la mère célibataire de Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917), et grand-mère de Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937), et sœur aînée de Gachucha Billac,
étant née le 11 mars 1809, à Ciboure, de père inconnu… _ ;
3) Marie Delouart (Ciboure, 14 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872), épouse, à Ciboure le 28 février 1821, du cibourien Michel Goyenague (Ciboure, 11 janvier 1790 – Ciboure, 20 novembre 1849) ;
 
et 4) Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 23 septembre 1872), époux, à Ciboure le 30 avril 1823, de la cibourienne Marguerite Larrea (Ciboure, 18 décembre 1798 – Ciboure, 30 septembre 1844) ;
 
 
et d’autre part à Saint-Jean-de-Luz pour
 
2) Marie-Baptiste Delouart n° 2 (Ciboure, 17 juin 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842),  épouse, à Saint-Jean-de-Luz le 17 août 1814, du cibourien Jean Etcheverry _ né Curutchet, fils de la cibourienne Gana Curuchet _ (Ciboure, 15 septembre 1777 – en mer, au large d’Hendaye, dans la nuit du 15 novembre 1841) _ cf les pages 630 et 631 de ce document de pension de la veuve Marie Delouart du  Quartier-maître de manœuvre Jean Courrutchet (dit Etcheverry)… Et je note au passage que la date de naissance de sa veuve est ici erronée, car ce n’est pas le 14 août 1786 qu’est née la veuve de Jean Etcheverry, mais le 17 juin 1784 ; la date de naissance mentionnée ici étant celle de sa soeur cadette Marie Delouart n°3, épouse de Michel Goyenague (ajout du 18 octobre 2024)…
 
Voici, génération après génération, la descendance luzienne de ce couple Delouart – Etcheverry,
jusqu’à Charles-Paul Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1938 – Saint-Jean-de-Luz, 2006), époux de Francine Menjot (1941) et sa sœur Maylen Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1942), épouse de Michel Lenoir (1935 – 2006),  dont j’établis, pour la première fois, le très effectif lien de parenté, ignoré, et même nié, jusque là _ et il y a là un mystère qui mériterait assurément d’être élucidé… _, avec Maurice Ravel.
… 
En effet, les seules recherches vraiment sérieuses jusqu’ici concernant les ascendances basquaises, via Marie Delouart, de Maurice Ravelmais pas orientées vers la descendance de Gratien Delouart, ni les cousinages basques de Marie Delouart et son fils Maurice Ravel, à partir, en amont, du décès de Gratien Delouart en 1798, sont, mais, demeurées bien trop confidentielles, l’œuvre très remarquable de l’enseignant luzien Jean-Noël Darrobers (Bayonne, 25 décembre 1910 – Saint-Jean-de-Luz, 23 mai 2004) ; dont le décès brutal de la fille, Martine Darrobers (Saint-Jean-de-Luz, 4 octobre 1946 – Saint-Jean-de-Luz, 23 mai 2005 : un an jour pour jour après son père) _ Martine Darrobers était archiviste aux Archives Nationales et éminente spécialiste reconnue de la documentation _, n’a hélas pas permis jusqu’ici une exploration scientifique…
 
 
Voici donc, et jusqu’à aujourd’hui, ce que j’ai pu établir de cette descendance luzienne _ méconnue _ de Gratien Delouart (1748 – 1798), l’arrière grand-père maternel de Marie Delouart (1840 – 1917), la mère de Maurice Ravel (1875 – 1937), au fur et à mesure des générations successives :
 
_ Marie-Baptiste Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842), épouse à Saint-Jean-de-Luz le 17 août 1814, du cibourien Jean Etcheverry _ né Curutchet _ (Ciboure, 15 septembre 1777 – en mer, 15 novembre 1841) ;
_  Marie Etcheverry (Saint-Jean-de-Luz, 21 juin 1817 – Saint-Jean-de-Luz, 27 décembre 1850), épouse, à Saint-Jean-de-Luz, le 10 novembre 1846, du luzien Jean-Baptiste Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 10 avril 1816 – Saint-Jean-de-Luz, 24 septembre 1859) ;
_ Dominique Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 28 janvier 1849 – Saint-Jean-de-Luz, 20 décembre 1926),
époux, à Saint-Jean-de-Luz le 3 juin 1874, de la luzienne Marie Dimatz (Saint-Jean-de-Luz, 28 octobre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 9 juillet 1932) ;
_ Magdeleine Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875 – Saint-Jean-de-Luz, 19 juin 1968),
épouse, à Saint-Jean-de-Luz le 28 septembre 1901, du luzien Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 19 novembre 1875 – noyé dans le fleuve Oubangui, près de Bimbo, 13 septembre 1910) _ Charles Gaudin est le fils aîné de Saint-Martin Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920), époux à Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875, de la luzienne Annette Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 28 avril 1845 – Saint-Jean-de-Luz, 21 novembre 1936), qui était la sœur du peintre luzien Pascal Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 12 juin 1847 – Bilbao (? _ Bilbao, 2 avril 1898 :  ajout du 18 octobre 2024 _), avant 1900), et la tante du fils aîné de Pascal Bibal et son épouse, de Zarauz, Dorotea Iburuzqueta, le peintre luzien François-Ignace Bibal (Saint-Jean-de-Luz, 17 septembre 1878 – Saint-Jean-de-Luz, 26 mai 1944) ;    
 c’est chez les Gaudin, rue Gambetta, puis rue du Midi, à Saint-Jean-de-Luz, que Maurice Ravel a résidé à de multiples reprises lors de plusieurs séjours à Saint-Jean-de-Luz ;  chez les Gaudin, qui étaient les employeurs de sa grand-tante et marraine Gachucha Billac (Ciboure, 15 mai 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 17 décembre 1902), gouvernante des enfants Gaudin… ; et toute sa vie Maurice Ravel a été lié d’une profonde amitié avec Marie Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 3 mars 1879 – Saint-Jean-de-Luz, 8 décembre 1976) _ ;
_ Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1988), époux, à Saint-Jean-de-Luz en 1935, de Angela Rossi (Trevia, 12 septembre 1905 – Saint-Jean-de-Luz, 14 décembre 1999) ;
Puis, à la génération suivante,
d’une part,
_ Charles-Paul Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 15 janvier 1938 – Saint-Jean-de-Luz, 25 mai 2006),
époux de Francine Menjot (1941) ;
          _ Jean-Bernard Gaudin (Saint-Jean-de-Luz),
          époux de Valérie Watine ;
                    _ Baptiste Gaudin (2004) ;
 
et d’autre part ,
_ Maylen Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 1942) _ avec laquelle je corresponds, à Saint-Jean-de-Luz _
épouse de Michel Lenoir (Saint-Laurent-de Céris, 29 mars 1935 – Bayonne, 10 janvier 2012) ;
          _ Jean-Christophe Lenoir (7 février 1965) ;
                    _ Alexandre Lenoir ;
                    _ Guillaume Lenoir ;
          _ Marianne Lenoir (1966) ;
                    _ Thibaud Lenoir (Saint-Jean-de-Luz, 13 février 1989) ;
          _ Marie-Béatrice Lenoir ;
                    _ Grégoire Colas ;
                    _ Tiphaine Colas ;
                    _ Louis Colas ;
          _ Marie-Christine Lenoir (1971) ;
                       _ Edgar Jacob ;
                   _ Hugo Jacob .     
 
Voilà.
Mes recherches ont aussi, bien sûr, porté sur les cousinages cibouriens de Marie Delouart et Maurice Ravel, à travers les familles Billac, Casabon, Goyenague, Etchepare, Cerciat, Passicot, Sagarzazu, Larrarte Lecuona, Zozaya, etc.
 
À suivre…

Ce jeudi 7 octobre 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

A propos des Gaudin d’Hasparren, et de Maurice Ravel (suite)…

05avr

Dans l’élan de ma recherche d’hier,

j’ai continué à m’intéresser aux divers membres de la branche Gaudin-Schlaegel, d’Hasparren,

et à leur descendance ;

et cela dans l’optique de peut-être dénicher une connexion entre cette famille Gaudin-Schlaegel d’Hasparren et Maurice Ravel…

Dans la Correspondance de Maurice Ravel réunie et publiée par Manuel Cornejo,

j’ai trouvé une seule mention d’Hasparren, à la page 96, en une lettre du 27 mars 1905 de Maurice Ravel à son amie luzienne Jane Gaudin, à propos d’un sien projet de séjour à Saint-Jean-de-Luz, en compagnie d’amis qui pourraient être les Godebski _ :

« J’espère que personnellement je pourrai avoir la joie de vous voir cette année, d’autant plus que je suis en train de décider des amis à aller à St-Jean. Je leur ai assuré que la vie y était très bon marché, en quoi je me suis sans doute beaucoup avancé. Je vais même vous demander des renseignements sur les loyers. Il leur faut un salon, une salle à manger et 3 chambres, dont une pour les bonnes, pour la durée de 4 mois environ. Croyez-vous que soit à St-Jean, soit à Ciboure, on puisse trouver cela dans les 600 f ? Bien entendu, que la recherche de ces renseignements ne vous dérange pas ; on a le temps de réfléchir, et les plus pressées de le savoir sont les bonnes, originaires d’Hasparren, qui tourmentent tous les jours leurs maîtres pour savoir si on va les conduire en leur pays« …

Plus loin, aux pages 194-195, 259 et 265,

Ravel fait plusieurs fois mention, en 1908 et 1911, d’une bonne de ses amis Godebski, prénommée Katalin

Mais nulle part jusqu’ici n’a paru une lettre de Maurice Ravel faisant mention de Charles Gaudin, juge de paix à Hasparren _ né à Saint-Jean-de-Luz le 12 septembre 1841, ce Charles Gaudin-là, frère aîné de Saint-Martin-Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 17 novembre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1920), est, il est vrai, décédé le 9 novembre 1897 : soit avant même le début des lettres retrouvées et publiées de Maurice Ravel… _, ni même _ du moins nommément… _ de son épouse, puis veuve (et excellente pianiste), Louisa Schlaegel (Hasparren, 28 janvier 1850 – Hasparren, 19 août 1829 ) :

cf l’anecdote maintes fois narrée chez les Gaudin du 41 rue Gambetta à Saint-Jean-de-Luz, de la grand-tante et marraine Gachucha Billac (Ciboure, 15 mai 1824 – Saint-Jean-de-Luz, 17 décembre 1902)), gouvernante des enfants Gaudin, ironisant sur le jeu sur le piano de son petit-neveu (fils de sa nièce Marie Delouart) et  filleul Maurice Ravel (né à Ciboure le 7 mars 1875), qui n’utilisait que le « milieu du clavier, comme un petit chat« , en le comparant au jeu bien plus virtuose de la tante Louise Gaudin-Schlaegel, excellente pianiste… 

À suivre…

Ce lundi 5 avril 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Récapitulatif commode de mes recherches sur les parentés cibouro-luziennes de Maurice Ravel (12 mars 2019 – 1er mars 2020)

02sept

M’avisant que je n’ai pas publié jusqu’ici sur mon blog En cherchant bien
un récapitulatif récent de mes articles de recherche sur les cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel
parus sur ce blog entre les dates du 12 mars 2019 et 1er mars 2020
_ le confinement du 17 mars, puis l’inaccessibilité (pour persistance de Covid-19 !) des archives municipales de Ciboure, continuant d’empêcher la poursuite des nécessaires recherches sur place _,
pour des raisons de commodité, voici ce récapitulatif :

12 mars 2019 : 

14 mars : 

17 mars : 

20 mars : 

27 mars : 

7 avril : 

12 avril : 

14 avril : 

11 mai : 

13 mai : 

16 mai : 

26 mai :  

28 mai : 

29 mai :  

30 mai : 

1er juin : 

7 juin :  

8 juin :  

10 juillet :  

12 juillet : 

15 juillet : 

16 juillet : 

20 juillet : 

9 août : 

13 août : 

15 août : 

17 août :  

18 août : 

19 août : 

31 août : 

1er septembre : 

18 septembre : 

21 septembre :  

22 septembre : 

24 septembre : 

30 septembre : 

C’est un parcours de recherche qui continue, bien sûr _ et plus que jamais ! obstacles aidant… _, de me passionner, avec ses découvertes successives, ses rebondissements-rectifications, et ses inespérés progrès !!!
Et qui peut être aussi amusant à lire qu’une enquête policière _ aussi palpitant que les Dix petits nègres d’Agatha Christie !..
Ma recherche a été freinée, forcément, par le confinement advenu le 17 mars 2020, qui m’a empêché de revenir poursuivre mes explorations minutieuses _ et forcément chronophages _ aux archives municipales de Ciboure, auxquelles je me suis rendu la dernière fois le vendredi 28 février 2020 ; soit 18 jours avant l’ouverture du confinement le mardi 17 mars…
Ainsi que, depuis le 11 mai, par les nécessaires précautions consécutives à la persistance de la pandémie, qui interdisent pour le moment l’accès à la toute petite salle de la mairie de Ciboure où sont conservées les précieuses archives…
C’est un petit roman que l’aventure de cette recherche des cousinages cibouro-luziens de Maurice Ravel ;
qui, assez étrangement, n’a suscité jusqu’ici aucune curiosité _ même au sein de la pourtant très active Association Jakintza ! domiciliée au rez-de-chaussée de la maison natale de Maurice Ravel, la superbe maison Estebania, 27 Quai Maurice Ravel… _ à Ciboure ni Saint-Jean-de-Luz !
Au point que j’ai appris, à Saint-Jean-de-Luz, à Madame Maylen Lenoir (née en 1942), petite fille de Magdeleine Hiriart-Gaudin (1875 – 1968),
que sa grand-mère paternelle, Magdeleine Hiriart-Gaudin (11 mars 1875 – 19 juin 1968), était la cousine on ne peut plus effective (!) de Maurice Ravel (7 mars 1875 – 28 décembre 1937) Magdeleine et Maurice sont nés à 4 jours d’intervalle, au mois de mars 1875 : elle, Magdeleine, le 11 mars, à Saint-Jean-de-Luz, et lui, Maurice, le 7 mars, à Ciboure, en la maison .
L’arrière-grand-mère de Magdeleine Hiriart-Gaudin (1875-1968),
via son père Dominique Hiriart (1849-1926),
sa grand-mère paternelle Marie Etcheverry n°1 (1817-1850),
et son arrière-grand-mère Marie-Baptiste Delouart n°2 (1784-1842),
étant très effectivement _ il faut y insister ! _ la cousine de Maurice Ravel (1875-1937),
via la mère de celui-ci, Marie Delouart (1842-1917),
sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (1809-1874),
et son arrière-grand-mère Marie-Baptiste Delouart n°1 (1782-1855).
Les (rares) chercheurs _ pour l’essentiel, à dire vrai, le seul Jean-Noël Darrobers (1910 – 2004) ; qui avait focalisé sa recherche sur les ancêtres cibouriens de Gratien Delouart (1748 – 1798) aux XVIIe et XVIIIe siècles ; et pas les descendants (cibouriens et luziens) de celui-ci au XIXe siècle… _ qui s’étaient un peu réellement (!) activement penchés jusqu’ici sur l’ascendance cibourienne de Maurice Ravel,
ne s’étaient pas avisé, en effet, qu’avaient existé _ et co-existé ! _ 3 sœurs Delouart _ filles des cibouriens Gratien Delouart et son épouse Sabine Laxague _, et toutes les trois prénommées Marie ;
la fratrie des Marie Delouart n°1 (Ciboure, 29 juin 1782 – Ciboure, 28 août 1855) _ épouse, à Ciboure, le 14 septembre 1814, du cibourien Jacques Billac (1774-1839) ; après avoir été la mère célibataire de Sabine Delouart (Ciboure, 11 mars 1809 – Ciboure, 22 décembre 1874) ; laquelle, Sabine Delouart, sera la mère célibataire de Marie Delouart (Ciboure, 24 mars 1840 – Paris, 5 janvier 1917) et la grand-mère de Maurice Ravel (Ciboure, 7 mars 1875 – Paris, 28 décembre 1937) _
et Marie Delouart n°2 (Ciboure, 17 juin 1784 – Saint-Jean-de-Luz, 3 janvier 1842) _ épouse, à Saint-Jean-de-Luz, le 17 août 1814, du cibourien Jean Curutchet, dit Jean Etcheverry (1777-1841) _
se complétant avec la Marie Delouart n°3 (Ciboure, 17 août 1786 – Ciboure, 15 décembre 1872) _ épouse, à Ciboure, le 28 février 1821, du cibourien Michel Goyenague (1790-1849) _ et _ au moins _ un frère, Jean Delouart (Ciboure, 27 août 1788 – Ciboure, 23 septembre 1872) ;
car a peut-être existé aussi un second frère
Jean-Noël Darrobers ne s’était hélas pas intéressé, en effet _ en avait-il pris une claire conscience ?.. étant données les assez nombreuses ambiguïtés (eu égard aux flous et contradictions fréquents des témoignages donnés…) demeurant au sein des divers actes administratifs disponibles… _, au devenir luzien (par son mariage, à Saint-Jean-de-Luz, le 17 août 1814) de la seconde Marie-Baptiste Delouart (1784 – 1842), épouse du marin, cibourien lui aussi, Jean Curutchet, dit Jean Etcheverry (Ciboure, 15 septembre 1777 – noyé en mer au large d’Hendaye, 15 novembre 1841),
et de leur descendance (désormais luzienne) :
Marie Etcheverry n°1 (Saint-Jean-de-Luz, 21 juin 1817 – Saint-Jean-de-Luz, 27 décembre 1750), épouse à Saint-Jean-de-Luz, le 10 novembre 1846, du luzien Jean-Baptiste Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 10 avril 1816 – Saint-Jean-de-Luz, 24 septembre 1859) ;
son fils Dominique Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 28 janvier 1849 – Saint-Jean-de-Luz, 20 décembre 1926), époux, à Saint-Jean-de-Luz, le 3 juin 1874, de la luzienne Marie Dimatz (Saint-Jean-de-Luz, 28 octobre 1844 – Saint-Jean-de-Luz, 9 juillet 1932) ;
sa petite-fille Magdeleine Hiriart (Saint-Jean-de-Luz, 11 mars 1875 – Saint-Jean-de-Luz, 19 juin 1968), épouse, à Saint-Jean-de-Luz, le 28 septembre 1901, du luzien Charles Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 19 novembre 1875 – Bimbo (Congo français), mort noyé sur le fleuve Oubangui, 13 septembre 1910) ;
son arrière-petit-fils le luzien Edmond Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 30 mai 1903 – Saint-Jean-de-Luz, 28 décembre 1988), époux, à Saint-Jean-de-Luz, en 1935, d’Angela Rossi (Triona (Italie), 12 septembre 1905 – Saint-Jean-de-Luz, 14 décembre 1999) ;
ce dernier étant le père de Charles Paul Gaudin (Saint-Jean-de-Luz, 15 janvier 1938 – Saint-Jean-de-Luz, 25 mai 2006) et sa sœur Maylen Gaudin-Lenoir (Saint-Jean-de-Luz, 1942)…
Alors que le fils de Magdeleine Hiriart-Gaudin et père de Maylen Gaudin-Lenoir, Edmond Gaudin (1903-1988),
qui a servi de chauffeur à Ravel lors de la plupart de ses virées en auto par tout le pays basque, français comme espagnol, à partir de 1927-28, et qui s’est rendu compte, un des tous premiers, des symptômes de la maladie neurologique qui allait emporter Maurice Ravel le 28 décembre 1937, 
affirmait à ses enfants Charles-Paul Gaudin (1938-2006) et Maylen Gaudin-Lenoir (née en 1942)
que les mots de « cousin – cousine » utilisés par Magdeleine Hiriart-Gaudin et Maurice Ravel dans leur correspondance
(cf les lettre échangées le 8 octobre 1910 et le 24 novembre 1914, aux pages 246 et 403 de l’Intégrale de la Correspondance de Maurice Ravel publiée par Manuel Cornejo),
étaient des termes d’affection seulement !!!
Un déni de parenté effective (et silence) assez étrange _ de la part d’Edmond Gaudin, guère enclin, semble-t-il, à porter témoignage à ses proches de l’amitié qu’avait eue pour lui son cousin Maurice Ravel, à la fin des années 20 et début des années 30, lors des séjours du compositeur à Saint-Jean-de-Luz ; et plus encore de la part de sa mère, la très affable et volontiers volubile, jusqu’en ses dernières années (elle décèdera en 1968, en sa 94e année), Magdeleine Hiriart-Gaudin _, et interrogateur, pour qui s’y penche,
qu’il serait intéressant d’élucider !
À suivre,
Ce mercredi 2 septembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Pour suivre l’histoire des Bibal et des Gaudin au XIXe siècle à Saint-Jean-de-Luz : les changements de numérotation ainsi que de dénomination des rues de Saint-Jean-de-Luz

02nov

Afin de faire un rapide _ et commode _ bilan des domiciliations Grand Rue (au moins jusqu’en janvier 1883 _ où naît, le 31 du mois, au domicile de ses parents Gaudin-Bibal (ainsi que sa grand-mère Victoire Dupous, veuve de Pierre Bibal), au 41 Grand Rue, Pascal Gaudin _),

puis Rue Gambetta (à partir d’au moins avril 1884 _ où décède chez lui Léon-Pierre Bibal, fils de Victoire Dupous, veuve de Pierre Bibal, le 28 avril _)

des membres des familles Bibal

(issus de Pierre Bibal et Victoire Dupous, à partir de leur mariage _ à Saint-Jean-de-Luz _ le 26 avril 1843, ainsi que de Pascal Bibal et Dorotea Iburuzqueta, à partir le leur mariage _ à Zarautz _ le 23 janvier 1877 ; ainsi que, plus en amont, de leurs parents Baptiste Dupous et Françoise Benoît _ ils se sont mariés à Saint-Jean-de-Luz le 17 septembre 1821 _)

et Gaudin (issus d’Edmond Gaudin et Annette Bibal à partir de leur mariage à Saint-Jean-de-Luz le 27 janvier 1875),

je constate que,

lors de leur naissance ou de leur décès tels qu’ils sont attestés dans les actes d’état-civil,

la plupart d’entre ces personnes Bibal et Gaudin nées ou décédées à Saint-Jean-de-Luz

entre le 7 février 1844 (naissance de Jean-Baptiste Bibal) et le 2 novembre 1899 (décès de Louis Gaudin)

sont notées dans l’acte d’état-civil le déclarant

domiciliées au 21 Grand Rue,

qui devient le 41 Rue Gambetta au moins dès avril 1884 _ lors du décès chez lui de Léon-Pierre Bibal (1er février 1849 – 28 avril 1884) _ :

Jean-Baptiste Bibal, né au 21 Grand Rue le 7 février 1844

Annette Bibal, née au 21 Grand Rue le 28 avril 1845

Léon-Pierre Bibal, né au 21 Grand Rue le 1er mars 1849

Marie Bibal, décédée au 21 Grand Rue le 13 mars 1849 _ à l’âge de un an et 9 mois  _

Justine Bibal, née au 21 Grand Rue le 13 septembre 1850

Marie Bibal, née au 21 Grand Rue le 19 mai 1852

Marie-Martine-Eliza Bibal, née au 21 Grand Rue le 11 novembre 1853

Justine Bibal, décédée au 21 Grand Rue le 31 mars 1854 _ à l’âge de 3 ans et demi  _

Bernardine Bibal, née au 21 Grand Rue le 22 août 1855

Pierre Bibal, décédé au 21 Grand Rue le 12 septembre 1855 _ à l’âge de 49 ans  _

Baptiste Dupous, décédé au 21 Grand Rue le 18 avril 1865 _ à l’âge de 64 ans  _

Charles Gaudin, né au 41 Grand Rue le 19 novembre 1875

Marie-Pascaline Gaudin, née au 41 Grand Rue le 10 novembre 1876

Marie-Pascaline Gaudin, décédée au 21 Grand Rue le 30 avril 1877 _ à l’âge de 5 mois et demi  _

Pierre Gaudin, né au 21 Grand Rue le 7 février 1878

Marie Gaudin, née au 21 Grand Rue le 3 mars 1879

Jeanne Gaudin, née au 21 Grand Rue le 16 octobre 1880

Pascal Gaudin, né au 21 Grand Rue le 31 janvier 1883

Léon-Pierre Bibal, décédé au 41 Rue Gambetta le 28 avril 1884 _ à l’âge de 35 ans  _

Louis Gaudin, né au 41 Rue Gambetta le 23 février 1886

Louis Gaudin, décédé au 41 Rue Gambetta le 2 novembre 1899 _ à l’âge de 13 ans  _

et j’y ajoute, au XXe siècle :

Gracieuse Billac _ domestique, gouvernante des enfants Gaudin et grand-tante de Maurice Ravel _, décédée au 41 Rue Gambetta le 17 décembre 1902 _ à l’âge de 78 ans  _

Victoire Dupous _ la mère d’Annette et Pascal Bibal, et la grand-mère des enfants Gaudin et Bibal _, décédée au 41 Rue Gambetta le 16 juin 1903 _ à l’âge de 81 ans  _

et encore Edmond Gaudin _ le mari d’Annette Bibal et le père des enfants Gaudin _, décédé au 41 Rue Gambetta le 28 décembre 1920 _ à l’âge de 76 ans  _

_ au mois d’août 1924, Annette Bibal Gaudin vend (ou du moins va déménager de) la maison du 41 rue Gambetta, et va emménager avec sa fille Marie Gaudin, sa nièce Annie Courteault et sa sœur Bernardine Bibal, la fameuse Tante Bibi des lettres de Maurice Ravel à Marie Gaudin, à la (proche) Villa Mirentxu, rue du Midi ; depuis le double décès de ses fils Pierre et Pascal Gaudin, au Chemin des Dames, le 12 novembre 1914, et la mort de son mari Edmond Gaudin, le 28 décembre 1920, la maison du 41 Rue Gambetta est en effet devenue trop grande (et trop vide) pour ce qui demeure de la maisonnée Bibal-Gaudin… D’où ce déménagement dans cette petite maison, Mirentxu, aux volets verts… _ ;

aux notables exceptions suivantes-ci :

le 12 juin 1847, les jumeaux Pascal et Marie Bibal sont déclarés être nés 20 Grand Rue ;

le 13 septembre 1855, Françoise Benoît  (la mère de Victoire Dupous et grand-mère maternelle d’Annette et Pascal Bibal) est déclarée être décédée _ à l’âge de 82 ans _, elle aussi, 20 Grand Rue.

S’agit-il là d’une erreur de graphie du numéro (20 au lieu de 21) ?

Ou bien cette double naissance ainsi que ce décès

ont-ils eu lieu en une maison distincte _ et peut-être voisine, voire contigüe ? _ de celle numérotée 21 Grand Rue ?

Ensuite, c’est au 39 Grand Rue _ et pas au 41 _ que naît le 17 septembre 1878 Ignace-François-Victor Bibal (Paquito), le fils aîné de Pascal Bibal et son épouse Dorotea Iburuzqueta ;

et c’est au 16 Grand Rue _ et pas au 41 _ que naîtront ensuite, le 27 novembre 1880 et le 3 mai 1882

sa sœur Marie-Micaela-Léonie Bibal,

puis son frère Grégoire Bibal ;

et au 5 Rue Gambetta _ et pas au 41 _ que naîtra le 5 mai 1884 sa sœur Elise Bibal.

Les deux derniers enfants de Pascal Bibal et Dorotea Iburuzqueta,

soient Jeanne-Ignace-Bernardine Bibal,

et Philippe-Joseph Bibal (Pepe),

née le 28 juin 1887 et le 29 décembre 1888,

ne naîtront pas, eux, Rue Gambetta,

mais Jeanne, 16 Rue Tourasse,

et Joseph, Rue Saint-Jacques _ sans numéro de maison indiqué sur l’acte de naissance à l’état civil… 

C’est donc entre

le 22 août 1855date de la naissance de Bernardine Bibal _ à l’âge de 87 ans _,

ou plutôt le 12 septembre 1855date du décès de Pierre Bibal,

_ ou même le 13 septembre 1855, date du décès de Françoise Benoît ; mais celle-ci, pas au numéro 21, mais au numéro 20 de la Grand Rue, pour elle _,

et le 18 avril 1865, date du décès de Baptiste Dupous (né à Urrugne-Béhobie le 26 juin 1800_ et époux à Saint-Jean-de-Luz, le 17 septembre 1821, de Françoise Benoît : née à Saint-Jean-de-Luz, (j’ignore dans quelle maison de quelle rue) le 2 octobre 1786 et décédée à Saint-Jean-de-Luz, Grand Rue n° 20, le 13 septembre 1855 _),

que semble avoir été modifié le numérotage de la Grand Rue de Saint-Jean-de-Luz :

le numéro 21

devenant désormais le numéro 41 de la Grand Rue ;

qui sera au moins dès avril 1884 le numéro 41 de la rue Gambetta.

Je peux donc en déduire que

le 21 Grand Rue d’entre au moins février 1844 et au moins septembre 1855,

le 41 Grand Rue d’entre au moins avril 1865 et au moins janvier 1883

puis le 41 Rue Gambetta au moins dès avril 1884

semble bien être la dénomination-numérotation de la même maison

_ et en effet c’est bien dans ce créneau temporel que la municipalité de Saint-Jean-de-Luz procéda au changement de nom de pas mal des voies importantes de la cité :

le 14 février 1883. Juste 15 jours après la naissance de Pascal Gaudin, le 31 janvier 1883, au 41 Grand Rue !

Cette maison a-t-elle d’abord été _ et à partir de quelle date ? _ la propriété des Dupous _ voire, en amont, des Benoît ? _ ?

ou celle des Bibal ?

_ en tout cas, pas la propriété des Gaudin : le mariage entre Annette Bibal et Edmond Gaudin a lieu seulement le 27 janvier 1875 _ :

voici une piste intéressante de recherche…

Baptiste Dupous (1800 – 1865), le père de Victoire (1822 – 1903), était boulanger

_ de même que le père de Françoise Benoît et grand-père maternel de Victoire Dupous, François Benoît (né en 1746 et décédé à Saint-Jean-de-Luz le 16 avril 1828, Rue Montante), lui aussi boulanger… _,

et Pierre Bibal (1806 – 1855), le mari de Victoire, était maître au cabotage _ Pierre Bibal était né le 5 septembre 1806, Rue Saint-Jacques n° 24 ; et ses parents Baptiste Bibal (né à Hasparren en 1768, armurier, et décédé le 21 mai 1825, rue Saint-Jacques n° 25) et sa mère Catherine Jeyre (née à Saint-Jean-de-Luz en 1772 (j’ignore dans quelle maison de quelle rue), et décédée le 1er juin 1821, rue Saint-Jacques n° 24) étaient tous deux décédés, eux aussi, Rue Saint-Jacques : Baptiste Bibal au n° 25, et son épouse Catherine au numéro 24, selon les mentions de l’état-civil : à quoi tient cette différence de numéro ? à une variation de la numérotation, ou à une différence de domicile ?.. _ : …

La micro-histoire permet de préciser la connaissance via de micro-détails.

Ce samedi 2 novembre 2019, Titus Curiosus – Francis Lippa

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