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Nouvelle réactualisation, ce jeudi 11 janvier 2024, de la bibliothèque de podcasts et vidéos d’Entretiens de Francis Lippa, d’octobre 2009 à janvier 2024, avec les plus excellents auteurs et parfois amis…

11jan

Suite à mon entretien d’avant-hier mardi 9 janvier à la Station Ausone avec François Noudelmann pour un aperçu rétrospectif sur tout son œuvre philosophique,

et cela à partir de son passionnant récit familial sur trois générations de Noudelmann : son grand-père Chaïm (1891 – 1941), son père Albert (1916 – 1998), et lui-même François (né en 1958) par rapport à eux deux, en fonction des filiations et dés-affiliations et affinités adventives…

_ cf mon article d’hier mercredi 10 janvier 2024 «  » qui donnait donc accès à cette jubilatoire vidéo. de notre superbe entretien de 61’… _,

voici,

pour succéder à mon précédent article rétrospectif du catalogue de mes divers Entretiens enregistrés (podcasts et vidéos) avec d’excellents auteurs, en date du vendredi 16 décembre 2022 : « « ,

voici donc

une nouvelle réactualisation simplement mise à jour de cette collection de liens à de podcasts et vidéos de mes Entretiens enregistrés et disponibles _ les assez nombreux entretiens antérieurs ayant pris place dans les salons Albert Mollat n’ayant hélas pas encore bénéficié d’enregistrements, et cela à l’initiative magnifique de Denis Mollat… _ :

1)  Yves Michaud, Qu’est-ce que le mérite ? (52′) le 13 octobre 2009

2)  Jean-Paul Michel, Je ne voudrais rien qui mente dans un livre (62′), le 15 juin 2010

3)  Mathias Enard, Parle-leur de rois, de batailles et d’éléphants (57′), le 8 septembre 2010

4)  Emmanuelle Picard, La Fabrique scolaire de l’histoire (61′), le 25 mars 2010

5)  Fabienne Brugère, Philosophie de l’art (45′), le 23 novembre 2010

6)  Baldine Saint-Girons, Le Pouvoir esthétique (64′), le 25 janvier 2011

7)  Jean Clair, Dialogue avec les morts & L’Hiver de la culture (57′), le 20 mai 2011

8)  Danièle Sallenave, La Vie éclaircie _ Réponses à Madeleine Gobeil (55′) le 23 mai 2011

9)  Marie-José Mondzain, Images (à suivre) _ de la poursuite au cinéma et ailleurs (60′), le 16 mai 2012

10) François Azouvi, Le Mythe du grand silence (64′), le 20 novembre 2012

11) Denis Kambouchner, L’École, question philosophique (58′), le 18 septembre 2013

12) Isabelle Rozenbaum, Les Corps culinaires (54′), le 3 décembre 2013

13) Julien Hervier, Ernst Jünger _ dans les tempêtes du siècle (58′), le 30 janvier 2014

14) Bernard Plossu, L’Abstraction invisible (54′), le 31 janvier 2014

15) Régine Robin, Le Mal de Paris (50′), le 10 mars 2014

16) François Jullien, Vivre de paysage _ ou l’impensé de la raison (68′), le 18 mars 2014

17) Jean-André Pommiès, Le Corps-franc Pommiès _ une armée dans la Résistance (45′), le 14 janvier 2015

18) François Broche, Dictionnaire de la collaboration _ collaborations, compromissions, contradictions (58′), le 15 janvier 2015

19) Corine Pelluchon, Les Nourritures _ philosophie du corps politique (71′), le 18 mars 2015

20) Catherine Coquio, La Littérature en suspens _ les écritures de la Shoah : le témoignage et les œuvres & Le Mal de vérité, ou l’utopie de la mémoire (67′), le 9 septembre 2015

21) Frédéric Joly, Robert Musil _ tout réinventer (58′), le 6 octobre 2015

22) Ferrante Ferranti, Méditerranées & Itinerrances (65′), le 12 octobre 2015

23) Bénédicte Vergez-Chaignon, Les Secrets de Vichy (59′), le 13 octobre 2015

24) Frédéric Martin, Vie ? ou Théâtre ? de Charlotte Salomon (61’), le 25 novembre 2015

25) Marcel Pérès, Les Muses en dialogue _ hommage à Jacques Merlet (64’), le 12 décembre 2015

26) Yves Michaud, Contre la bienveillance (64′), le 7 juin 2016

27) Karol Beffa et Francis Wolff, Comment parler de musique ? & Pourquoi la musique ? (32′), le 11 octobre 2016

28) Etienne Bimbenet, L’Invention du réalisme (65′), le 6 décembre 2016

29) Olivier Wieviorka, Une Histoire des Résistances en Europe occidentale 1940-1945 (54′), le 8 mars 2017

30) Michel Deguy, La Vie subite _ Poèmes, biographies, théorèmes (75′), le 9 mars 2017

31) Frédéric Gros, Possédées (58′), le 6 avril 2017

32) Sébastien Durand, Les Vins de Bordeaux à l’épreuve de la seconde guerre mondiale (55′), le 6 juin 2017 _ non diffusable publiquement, hélas, pour des raisons techniques : l’entretien est passionnant ! À défaut, lire le livre : « Les Vins de Bordeaux à l’épreuve de la Seconde Guerre mondiale : 1938-1950, une filière et une société face à la guerre, l’Occupation et l’épuration« , aux Éditions Memoring…

33) François Jullien, Dé-coïncidence (61′), le 17 octobre 2017

34) René de Ceccatty, Enfance, dernier chapitre (52′) & La Divine comédie (30′), de Dante (traduction en vers et en français de René de Ceccatty), le 27 octobre 2017

35) Marie-José Mondzain, Confiscation _ des mots, des images et du temps (65′), le 7 novembre 2017, au Théâtre du Port-de-la-Lune : une vidéo.

36) Pascal Chabot : L’homme qui voulait acheter le langage (49′), le 20 septembre 2018

37) Nathalie Castagné / Goliarda Sapienza : Carnets (49′), le 29 avril 2019

38) Jean-Paul Michel : Défends-toi, Beauté violente ! & Jean-Paul Michel « La surprise de ce qui est«  & Correspondance 1981-2017 avec Pierre Bergounioux  (82′), le 3 mai 2019 : une vidéo

39) Hélène Cixous : 1938, nuits (62′), le 23 mai 2019 : une vidéo

40) Denis Kambouchner : Quelque chose dans la tête & Vous avez dit transmettre (62′), le 26 novembre 2019

41) Karol Beffa : L’Autre XXe siècle musical (53′), le 25 mars 2022 : une vidéo 

42) René de Ceccaty : Le Soldat indien (9′), le 4 novembre 2022 : une vidéo

43) Pascal Chabot : Avoir le temps : Essai de chronosophie ainsi que Après le progrès & Les sept stades de la philosophie & Global burn-out L’Âge des transitions & Exister, résister _ ce qui dépend de nous & Traité des libres qualités (64′), le 22 novembre 2022 : une vidéo

Et donc maintenant aussi :

44) François Noudelmann : Les Enfants de Cadillac ainsi que Le Toucher des philosophes : Sartre, Nietzsche, Barthes au piano & Les Airs de famille. Une philosophie des affinités & Le Génie du mensonge _ les plus grands philosophes sont-ils de sublimes menteurs ?  & Penser avec les oreilles & Un tout autre Sartre (61′), le 9 janvier 2024 : une vidéo.

À suivre…

Le lien à l’article de mon blog du 27 avril 2017 Deux merveilleux entretiens à l’Auditorium de la Cité du Vin, à Bordeaux, avec Nicolas Joly et Stéphane Guégan donne accès, lui, à deux très riches vidéos d’entretiens à la Cité du Vin :

le premier entretien, le 17 janvier 2017, avec Nicolas Joly _ le très fameux vigneron du prestigieux merveilleux vignoble de La Coulée de Serrant, en Anjou… _, et Gilles Berdin, à propos du livre La Biodynamie (94′) : une vidéo ;

et le second, le 28 mars 2017, avec Stéphane Guégan _ conservateur du patrimoine _, à propos de la passionnante et très réussie exposition à la Cité du Vin Bistrot ! De Baudelaire à Picasso (96′) : une vidéo

 

J’y joins ici aussi ce courriel adressé ce matin même à François Noudelmann, en forme de prolongation à nos riches échanges de mardi, ainsi qu’immense remerciement… : 

Cher François,

 
exemplaire aussi a été mon entretien magique avec Jean Clair (le 20 mai 2011) à propos de ses « Dialogue avec les morts » et « L’Hiver de la culture »,
dont pourra jouir au mieux à l’écoute ta lucidissime exercée « troisième oreille ».
 
Et beaucoup de ses paroles (et bien plus qu’elles : ses rythmes, ses grains de voix, ses tons, ses ralentis, ses pauses, ses silences, etc.) vont,
telle une bouteille lancée à la mer,
trouver en toi l’oreille (et le penser) qu’ils attendaient et espéraient-désespéraient peut-être de rencontrer…
Mais nous sommes finalement d’incurables jubilatoires optimistes…
 
En voici un lien au podcast
 
Je vais bien sûr _ et c’est ce que je viens de faire ici même _ rédiger un nouveau récapitulatif des enregistrements accessibles des podcasts et vidéos de mes entretiens,
en y joignant le merveilleux nôtre d’avant hier 9 janvier,
où tous ces entretiens sont accessibles à l’oreille ou au regard.
 
Bien sûr, tous ne sont pas de la hauteur de celui, de bout en bout merveilleux, avec Jean Clair
_ de même que tous les « Comment l’entendez-vous ? » de la magnifique Claude Maupomé ne sont pas tous de la hauteur somptueuse du « Je l’entends comme je l’aime » de Roland Barthes pour son Schumann ; celui-ci eût lieu au mois d’octobre 1978 ; et c’était d’ailleurs là la première (!) d’une merveilleuse émission qui eut 545 exemplaires, jusqu’en 1990... _,
mais beaucoup d’entre eux sont, au moins de mon point de vue, assez jubilatoires ; et les passions lumineuses communicatives de ces interlocutions m’ont vraiment beaucoup appris et m’ont ouvert, à moi aussi, de vrais mondes…
 
De mes 45 entretiens enregistrés jusqu’ici _ les précédents, avant 2009, n’étaient pas encore enregistrés par Denis Mollat ; et le nôtre est donc le 46e _,
j’élis :
 
celui (en vidéo) avec Hélène Cixous sur son « 1938, nuits »,
celui (en vidéo) avec Karol Beffa sur son « L’Autre XXe siècle musical  » _ il y parle entre autres de Ravel, de Poulenc, de Reynaldo Hahn… _,
celui (en vidéo) avec Pascal Chabot sur son « Avoir le temps : Essai de chronosophie » (+ l’ensemble de son parcours philosophique),
celui (en vidéo) avec Marie-José Mondzain sur son « Confiscation _ des mots, des images et du temps »,
celui (en podcast) avec René de Ceccatty sur ses « Enfance, dernier chapitre » et « La Divine comédie »,
celui (en podcast) avec Bernard Plossu sur son « L’Abstraction invisible »,
celui (en podcast) avec Michel Deguy sur son « La Vie subite _ Poèmes, biographies, théorèmes »…
 
Comme par hasard presque tous des amis…
 
Tomber sur, rencontrer, trouver de vrais interlocuteurs,
comme aussi des paysages, des villes,
et bien sûr aussi des œuvres (ainsi que des interprétations) à lire, regarder, écouter,
avec lesquels s’entretenir, dialoguer, rebondir, aller plus loin, s’enchanter,
voilà ce que j’aime _ tel un Montaigne s’entretenant avec ses livres (et ses poutres gravées) en sa féérique Librairie _ ;
 
et que j’ai aussi eu la chance d’avoir _ mais oui ! _ le long de mes 42 ans de défi d’enseigner à philosopher, dans la classe, avec mes élèves, chaque heure (ou presque…) de cours, au lycée…
Et j’ai adoré ça !
De même que j’aime aussi chercher-rechercher un pas plus loin, à côté ou de biais :
 
_ comme en la recherche du parcours de survie (tu) de mon père le Dr Benedykt Lippa (1914 – 2006) sous l’Occupation ;
_ comme en la recherche de l’ancrage argentin (depuis 1830) de mes cousins oloronais Bioy, dont est issu le cousin au second degré de ma mère née Marie-France Bioy (1918 – 2018), Adolfo Bioy Casares (1014 – 1999), l’ami si proche de Jorge Luis Borges ;
_ comme à propos de l’œuvre musical de Lucien Durosoir (1878 – 1955) pour lequel j’ai donné 2 communications au Colloque musical « Un Compositeur moderne né romantique : Lucien Durosoir » au Palazzetto Bru-Zane à Venise le 19 février 2011 : «Une poétique musicale au tamis de la guerre : le sas de 1919 – la singularité Durosoir » et « La Poésie inspiratrice de l’œuvre musical de Lucien Durosoir : romantiques, parnassiens, symbolistes, modernes » ;
_ comme en la recherche des ancêtres basques du cher Maurice Ravel  (1875 – 1937) à Ciboure ;
_ comme en la recherche de la descendance de la branche « algérienne » de Louis Ducos du Hauron (1837 – 1920), l’inventeur génial, en 1868, à Lectoure, de la photographie en couleurs…
 
Et au-dà de ces podcats et vidéos d’entretiens accessibles sur mon blog « En cherchant bien »,
ce sont tous mes articles (qui ont débuté le 3 juillet 2008) qui constituent pour moi un trésor d’expression et mémoire conservé et accessible…
 
Voilà !
 
Un immense merci, cher François.
 
Voilà ce qu’est s’entendre en s’écoutant et se répondant en s’accordant assez bien, sur le vif…
Soient les inestimables cadeaux vrais de la vraie vie.
Une grâce…
 
Bien à toi, François,
 
Francis

Et je joins encore, ce vendredi matin, ce lien-ci à un site où peut se regarder et écouter la vidéo d’une passionnante contribution (d’une durée de 30′) de François Noudelmann consacrée au « doigté » selon Roland Barthes, pour la Fondation Singer-Polignac, le jeudi 4 juin 2015…  

Ce jeudi 11 janvier 2024, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un bref rappel rétrospectif : les tous premiers encouragements de Joël Petitjean à mon travail de recherche, absolument original, à propos de la descendance des trois neveux (Amédée, Gaston et Raymond) de Louis Ducos du Hauron, en date des 24 et 25 septembre 2021…

22juil

En matière de bref recul rétrospectif sur mon patient et suivi travail de recherche _ débuté très précisément le dimanche 6 décembre 2020, avec mon article « «  ; cf mon tout premier article consacré à ma découverte de Louis Ducos du Hauron (dont j’ignorais jusque là jusquà l’existence !!!), en date du jeudi 2 décembre 2020 : « «  _ sur la descendance des trois neveux, Amédée et Gaston Ducos du Hauron et Raymond de Bercegol, de Louis Ducos du Hauron,

voici,

en forme de témoignage de l’amorce de notre amicale et féconde correspondance,

ces deux courriels reçus de Joël Petitjean en date des 24 et 25 septembre 2021 :

_ d’abord, celui-ci, en date du 24 septembre 2021, à 19h 58 :

« Cher Monsieur,

 
Il y a quelques mois _ décembre 2020… _, Claude Lamarque, avec qui je suis en relation très amicale, m’avait demandé s’il pouvait vous donner mon adresse courriel afin que nous puissions échanger sur notre passion commune, ce que j’ai accepté bien volontiers !
 
J’ai donc attendu votre message, et je le reçois aujourd’hui avec joie.
 
Passionné et travaillant sur Ducos du Hauron depuis de longues années, j’ai fait l’effort de suivre au jour le jour, lire (et imprimer) votre formidable travail _ et je retiens, bien sûr, cette extraordinaire expression ! _ (qui mériterait grandement d’être organisé pour une publication) _ Wow !!! et c’est bien sûr moi qui mets cela en rouge _ ; je suis donc un de vos lecteurs assidus _ re-wow !
 
Vous m’avez beaucoup appris _ voilà qui grandement m’honore !
 
Pour ma part, j’ai réuni une importante documentation et j’aurais quelques précisions à vous apporter.
 
Je suis donc à votre disposition pour convenir, si vous le souhaitiez, d’un rendez vous téléphonique ces prochaines semaines. (Nous nous rencontrerons peut-être en marge du colloque du 27 novembre, mais il n’est pas sûr que nous puissions échanger longuement.)
 
Je vous adresse en pièce jointe, pour information, un de mes articles ainsi que mon CV (c’est le plus simple…) où sont décrits tous mes travaux et réalisations sur Ducos du Hauron.
 
Au plaisir de vous lire, bien cordialement.
 
Joël Petitjean« …

Avec ma réponse du lendemain, le 25 septembre, à 11h  02 :

« Cher Monsieur,

 
Quelle magnifique et heureuse surprise que votre courriel !
 
Vous sachant très occupé, et m’étant petit à petit écarté du propos initial de ma recherche concernant les 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, 
pour porter mon attention sur leurs descendances, et bientôt les affiliations de ces descendants ;
et plus encore, très vite, sur les parcours en Algérie _ Alger, Orléansville, etc. _ d’Amédée Ducos du Hauron et des personnes qui lui étaient de près, puis de plus loin, apparentées,
je n’ai pas voulu vous ennuyer avec ces recherches qui s’éloignaient des activités de recherche et inventions de Louis Ducos du Hauron 
(ainsi que de ses 3 neveux, qui ont plus ou moins, et à divers moments, collaboré _ Amédée lui aussi ! pas seulement Gaston et Raymond ; et il faudra assurément revenir le creuser !.. _ à ses travaux)…
 
J’étais donc un peu loin de penser que le chercheur très sérieux que vous êtes, pouvait s’intéresser aux interrogations et étapes de ma curiosité à propos de la famille de Louis Ducos du Hauron…
 
C’est que j’ignorais que vous êtes aussi, et peut-être d’abord, un passionné de la curiosité…
 
Les articles de mon blog constituent, en effet, une sorte de journal, quasi au quotidien, de ma recherche tâtonnante, et avançant par « sauts »,
au gré des indices que je parvenais, peu à peu, à glaner, et à connecter un peu entre eux, afin de répondre aux diverses strates de mes interrogations…
 
Même si, de temps, j’éprouvais le besoin d’en tirer quelques maladroites synthèses _ me corrigeant au fur et à mesure.
 
J’ai pu entrer en contact avec divers membres de familles directement issues des 3 neveux de Louis Ducos du Hauron, ou apparentées, via des mariages _ tout particulièrement en Algérie, et notamment à Orléansville et sa région…
Je me suis pas mal appuyé sur des faire-part de mariage et de décès, voire des annonces de naissance _ glanées via le web… _, qu’il m’a fallu éclaircir, au fur et à mesure.
 
Mais j’en ai pris l’habitude, ayant travaillé d’abord sur le parcours _ en zone dite libre, sous l’Occupation _ de mon père (1914 – 2006) durant la guerre (entre mai 1942 et septembre 1944),
pour découvrir, à partir de menus indices, ce qu’il avait vécu : au camp de Gurs, où il a fait partie de Groupes de Travailleurs Étrangers (G. T. E.) ; puis à Toulouse et à Oloron, où il a eu quelques activités de Résistance…
 
J’ai travaillé aussi sur la généalogie (béarnaise) de la famille Bioy, d’Oloron
dont le plus célèbre membre est l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (1914 – 1999) _ ma mère (1918 – 2008) est née Marie-France Bioy : elle était LA mémoire de la famille… 

Puis, sur la généalogie basquaise de la mère _ Marie Delouart (1840 – 1917) _ de Maurice Ravel (1875 – 1937) : 
j’ai ainsi appris à une luzienne _ Maylen Lenoir, née Gaudin _ le cousinage effectif _ ignoré et même nié jusque là !!! _ de sa grand-mère, née Magdeleine Hiriart (1875 – 1968), avec Maurice Ravel ;
Maurice Ravel dont la grand-tante, Gachucha Billac (1824 – 1902), sœur de sa grand-mère maternelle Sabine Delouart (1809 – 1874),
était la gouvernante des enfants Gaudin, à Saint-Jean-de-Luz, dont l’aîné, Charles Gaudin (1875 – 1910), était le mari de Magdeleine Hiriart…
Dans 2 lettres de 1910  et 1914, à l’occasion des décès de Charles Gaudin, puis de ses frères Pierre (1878 – 1914) et Pascal (1883 – 1914) Gaudin,
Maurice Ravel et Magdeleine Hiriart s’appellent « Mon cher cousin », « Ma chère cousine » : j’ai simplement cherché à comprendre pourquoi…
 
Je suis bien sûr en lien constant avec le Président des Amis de Maurice Ravel, Manuel Cornejo, l’éditeur de la Correspondance de Maurice Ravel,
de laquelle je suis parti pour mes recherches…
J’ai ainsi pu corriger de grossières erreurs de certains biographes prétendument sérieux, qui se contentent de reprendre tels quels, sans critique _ni recherche originale de leur part ! _, les travaux de chercheurs antérieurs…
Manuel Cornejo en tiendra compte lors de la réédition à venir de cette très précieuse Correspondance
Lui aussi est un chercheur passionné (et sérieux !).
 
Dernièrement, je me suis intéressé aussi à la famille d’un ancien collègue de travail, au tournant des années 80,
dont deux neveux, fils de sa sœur Bertille de Swarte, sont d’intéressants musiciens baroques : Sylvain Sartre et Théotime Langlois de Swarte…
Je me souvenais, en effet, que mon collègue, originaire de Dordogne, avait des liens de parenté avec la famille Sartre ;
et il se trouve que le père de Jean-Paul Sartre était originaire de Thiviers, en Dordogne.
Il suffisait d’opérer les connexions nécessaires…
 
Le monde n’est pas si grand que des chemins ne finissent pas par se croiser…
 
Et ma belle-mère est d’une vieille famille d’Agen, les Boué…
 
Voici mon numéro de téléphone : …
Et mon adresse : Francis Lippa …
 
Je suis aussi Vice-Président de la Société de Philosophie de Bordeaux…
 
Encore merci de ce merveilleux contact !
 
Francis« …

Suivi de la réponse immédiate de Joël Petitjean, en date de ce même 25 septembre 2021, à 12h 48,

qui a constitué pour moi un encouragement magnifique, ainsi que le début d’une amitié de chercheurs curieux, honnêtes et généreux dans le partage de leurs découvertes… :

« Cher Monsieur,

Je suis si heureux de recevoir votre réponse !
 
Votre message est passionnant et votre parcours tout à fait remarquable.
 
Il me semble que personne, avant vous-même, n’avait tenté une étude et une synthèse aussi complètes sur la généalogie de Louis Ducos du Hauron _ Wow !!!
 
J’ai lu et entendu bien des choses sur sa vie et son œuvre, mais je suis en effet très curieux d’en savoir davantage sur sa personnalité, ses relations avec ses proches, la manière dont il fut aimé et admiré par les siens, les souvenirs qu’il a laissés à sa famille… Tout cela est de nature à mieux faire comprendre son magnifique et étonnant parcours _ telle était en effet l’intuition originaire qui m’a animé dès le départ….
 
C’est pourquoi mes longues conversations téléphoniques avec Claude Lamarque, dans un climat d’extrême gentillesse et de passion partagée, m’ont comblé de bonheur… (Je n’ai pas de nouvelle récente de Claude ; en avez-vous ?) _ Claude Lamarque va bien, m’a répondu à Lectoure samedi dernier 15 juillet son neveu Louis Allard, auprès duquel je m’enquérais de nouvelles de son oncle Claude…
 
Je me réjouis de notre future conversation. Je vous proposerai une date dans quelque temps (je prépare en ce moment ma communication pour le colloque).
 
Avec mes sincères remerciements, bien à vous.
 
Joël
 
N.B. 1. Après m’être senti bien seul durant de longues années (depuis 1998, sinon depuis 1984…), presque personne n’étant venu au musée voir les archives que j’ai retrouvées, je suis ravi de voir, depuis 2015, toute une synergie se mettre en place _ voilà ce qui est nécessaire à de telles entreprises ! _ à Chalon-sur-Saône, Paris, Agen, Lectoure, Langon, afin d’étudier et faire connaître Ducos du Hauron. Le colloque d’Agen _ du 27 novembre 2021 _ en sera un vibrant témoignage.
 
N.B. 2. Grâce à Charles _ Sarion _ et aux Amis de Ducos du Hauron, j’ai rendu un long article à la Société académique d’Agen. Celui-ci sera bientôt publié, avec d’autres contributions, dans un numéro de la Revue de l’Agenais consacré à l’inventeur« …

Voilà.

Le fait d’une pareille reconnaissance, précoce, de mon travail de recherche absolument original, et publié sur mon blog « En cherchant bien » dès le 6 décembre 2020, à propos des trois neveux de Louis Ducos du Hauron, Amédée et Gaston Ducos du Hauron et leur cousin Raymond de Bercegol, ainsi que de la descendance de chacun d’eux trois, est on ne peut plus précieux pour moi, tout particulièrement de la part d’un chercheur aussi compétent et admirable que Joël Petitjean…

D’autant que Joël Petitjean m’a confirmé, samedi dernier, à Lectoure, qu’il continuait de suivre régulièrement la publication de mes articles sur mon blog…

À suivre…

Ce samedi 22 juillet 2023, Titus Curiosus – Francis Lippa

D’autres présences, en tant que témoin, du coiffeur – perruquier Pierre Bignès, retrouvées parmi les archives d’état-civil d’Oloron, accessibles…

03nov

Concernant Pierre Bignès, dit Gabastou, le perruquier-coiffeur d’Oloron, dit « maître-perruquier, domicilié à Oloron, et subrogé tuteur du mineur François Noblet« , dans l’annonce de vente par licitation à Arles-sur-Tech, publiée par le journal L’Alliance du 13 juillet 1890né à Nay le 22 août 1824, veuf de Jeanne-Marie Borgès et remarié, en secondes noces, à Oloron le 30 septembre 1866 _ le marié avait alors 42 ans, et, domicilié à Oloron, il était alors dit « coiffeur«  _ avec Gracieuse Elichagarrayau mariage desquels faisaient partie de leurs quatre témoins et Jules Noblet, « âgé de 27 ans _ né, donc, en 1839 et assez vraisemblablement à Oloron le 11 mars 1839 (soit la jour même de naissance de Mathieu-César Noblet !.. : Jules et Mathieu-César Noblet étant très probablement la même personne ! _, perruquier » ; et Pierre Daguzan, « âgé de 53 ans _ né à Oloron le 24 janvier 1813 _, fabricant de bérets« ,

j’ai trouvé d’autres situations de « témoin » de Pierre Bignès lors de plusieurs mariages de proches à Oloron :

_ ainsi, le 30 janvier 1861, lors du mariage à Oloron d’Anne-Bertilhe-Félicie Noblet, née à Oloron le 5 novembre 1837, couturière, et fille aînée de François Noblet (Oloron, 28 juillet 1885 – Oloron, 5 janvier 1864) et sa seconde épouse _ à Eysus le 8 octobre 1835 _ Marie Lasclottes, avec Laurent-Eugène Sayous, né à Oloron le 15 novembre 1832, cordonnier, Pierre Bignès, « âgé de 40 ans, coiffeur« , était-il déjà témoin ;

_ ainsi, encore, le 27 janvier 1865, lors du mariage à Oloron de Mathieu-César _ = Jules ? Oui ! Ce  lundi 7 novembre 2022, en un registre d’actes notariés passés à Oloron en l’étude de Maître Darré, en 1891, je viens de découvrir la mention d’un acte conclu entre un nommé Dastugue Pierre, et Noblet Mathieu César dit Jules !!! Mon intuition de départ qu’il s’agissait bien là d’une seule et même personne, se trouve là confirmée… _ Noblet, né à Oloron le 11 mars 1839, perruquier, le frère cadet d’Anne-Bertilhe-Félicie Noblet, et donc fils de François Noblet et Marie Lasclottes, avec Marie Casenave ,

Pierre Bignès, « âgé de 40 ans, coiffeur« , était-il à nouveau témoin ;

_ et encore, le 10 décembre 1890, lors du mariage à Oloron de Marie-Ambroisine Daguzan _ née à Oloron le 16 septembre 1868 ; et marraine, en 1918, de ma mère Marie-France Josèphe Bioy (Tarbes, 11 février 1918 – Bordeaux, 27 octobre 2018), petite fille de Marcelin Bioy (Oloron, 14 avril 1840 – Oloron, 1917) et son épouse Marie-Isabelle Daguzan (Oloron, 15 août 1847 – Oloron, 28 février 1900), qui se sont mariés à Oloron le 23 août 1871 _, avec Joseph Laborde-Porte,

Pierre Bignès, « âgé de 66 ans, coiffeur« , était-il témoin

Et, d’autre part, le 21 février 1881, au mariage à Oloron de Firmin Daguzan et Alexandrine-Marie Latapie-Armagnac,

c’était cette fois Jules Noblet, « âgé de 42 ans, perruquier« , qui était témoin…

Ce jeudi 3 novembre 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un hommage à Adolfo Bioy Casares à la Maison de l’Amérique Latine

21mar

Du vendredi 23 mars prochain _ après-demain _ au samedi 21 juillet,

la Maison de l’Amérique latine, 217 Boulevard Saint-Germain, à Paris,

nous propose un programme exceptionnel de projections de films tous inspirés du roman extraordinaire d’Adolfo Bioy Casares L’Invention de Morel,

et rarement vus.


Parmi ces films,

L’Année dernière à Marienbad d’Alain Resnais,

dont le scénario et le découpage sont d’Alain Robbe-Grillet, lui-même inspiré _ cela se sait peu ! _ de L’Invention de Morel d’Adolfo Bioy Casares, précisément !

Á redécouvrir donc !..

Et d’autre part, il se trouve qu’Adolfo Bioy (Buenos Aires, 15-9-1914 – Buenos Aires, 8-3-1999) est mon cousin _ ma mère est une Bioy.

Et l’information de ce cycle de manifestations cinématographiques à la Maison de l’Amérique latine, à Paris, m’a été transmise par Silvia Baron Supervielle, amie très proche d’Adolfo et de son épouse Silvina Ocampo _ à Oloron même, le caveau des Supervielle jouxte celui des Bioy, au cimetière de la rue d’Aspe _ ;

Silvina Ocampo (Buenos Aires, 28-7-1903 – Buenos Aires, 14-12-1993),

dont les Éditions des Femmes viennent de faire paraître tout dernièrement en traduction française deux ouvrages : La Promesse, et Sentinelles de la nuit.

Adolfo Bioy Casares et Silvina Ocampo le jour de leur mariage à Las Flores, province de Buenos Aires (1940)

Debout : Óscar Pardo, Enrique L. Drago Mitre et Jorge Luis Borges (témoins du couple)

Source : Adolfo Bioy Casares. Una poética de la pasión narrativa, Anthropos, n.º 127, décembre 1991, page 28.


Ce passionnant cycle de films aura pour complément la très intéressante exposition L’Invention de Morel ou la Machine à images,

dont le commissaire est Thierry Dufrêne.

Cette exposition, qui se tiendra à la Maison de l’Amérique latine, 217 Boulevard Saint-Germain,

sera visible du 16 mars au 21 juillet 2018 : 

du lundi au vendredi, de 10 h à 20 h,

et le samedi, de 14 h à 18 h.

La première séance de ce cycle cinématographique original et passionnant

aura lieu vendredi 23 mars, de 14 h 30 à 19 h ;

et comportera les 3 films suivants :

à 14 h 45 : L’Invention de Morel, de Claude-Jean Bonnardot (1967, 100′)

à 16 h 30 : L’Invention de Morel, d’Emilio Greco (1974, 95′, version originale sous-titrée en français)

à 18 h 30 : A Necessary Music, de Beatrice Gilson (2008, 30′, version originale sous-titrée en français)

Trois adaptations du roman bien différentes, témoignant au passage de l’évolution du regard sur cette œuvre éminemment singulière et fascinante :

la première restitue le monologue intérieur du naufragé ;

la seconde, quasiment muette, tournée à Chypre avec Anna Karina, privilégie l’image ;

la troisième transpose l’histoire dans l’île Roosevelt, près de New-York, dont les habitants jouent leur rôle.


Le mercredi 28 mars à 19 h,

projection de L’Année dernière à Marienbad, d’Alain Resnais (1961, 94′),

avec la participation de Sylvette Baudrot et Jean Léon.

Réalisé par Alain Resnais à partir du scénario d’Alain Robbe-Grillet,

qui avait lu L’Invention de Morel où apparaît _ mais oui ! _ le nom de Marienbad qui précisément lui donne son titre,

et tourné dans des architectures baroques allemandes,

ce film avec _ on s’en souvient ! _ Delphine Seyrig,

a la beauté sidérante d’un labyrinthe de temps.

Le mercredi 11 avril à 19 h,

projection du film Adolfo Bioy Casares, de Pierre-André Boutang et Dominique Rabourdin (1992, 55′),

issu de la collection des Entretiens d’Océaniques. Mémoires du XXe siècle,

avec la participation de Dominique Rabourdin et André Gabastou.

André Gabastou

 

 

 

 

 


Dans ce film, Adolfo Bioy Casares est interrogé par André Gabastou _ béarnais de Navarrenx, André Gabastou est un des traducteurs de Bioy en français : notamment de Un Photographe à La Plata, en 1998, et de Ceux qui aiment haïssent (de Bioy et Silvina Ocampo), en 1998 aussi.

L’écrivain _ mon cousin, donc : la famille de ma mère, née Marie-France Bioy (elle a 100 ans depuis le 11 février dernier), la famille Bioy, donc, est une très ancienne famille d’Oloron-Sainte-Marie : sa présence à Oloron est attestée tant que demeurent des archives de la ville, c’est-à-dire en remontant jusqu’aux guerres de religion… s’y exprime avec la profondeur et l’élégance d’esprit teintées d’humour qui le caractérisent.

On trouve aussi un superbe et justissime portrait d’Adolfo Bioy, mélancolique,

dans le magnifique très beau roman de René de Ceccatty, Fiction douce, en 2002 ;

René avait rencontré Adolfo chez lui, dans l’appartement estival des Bioy, de Cagnes-sur-mer ;

ainsi qu’à la première parisienne _ à la MC93 de Bobigny _, en septembre 1997, de la pièce de Silvina Ocampo, La Pluie de feu,

traduite en français par leur amie commune et poète Silvia Baron Supervielle _ dont paraît ces jours-ci le recueil de poèmes Un Autre loin.

Le jeudi 15 mai, à 19 h,

projection de La Jetée, de Chris Marker (1962, 28′)

et de Hombre mirando al Sudeste, d’Eliseo Subiela (1986, 105′, version originale sous-titrée en français),

avec la participation de Jean-Louis Boissier.


Á qui voulait comprendre son œuvre,

Chris Marker recommandait de lire tout particulièrement L’Invention de Morel.

Les allers-retours à travers le temps de La Jetée, que Marker appelait « photo-roman », rappellent en effet le jeu infiniment troublant de Bioy sur les temporalités.

De son côté, le cinéaste argentin Eliseo Subiela cite L’Invention de Morel dans son film, où le personnage principal affirme être un hologramme.

Le mercredi 23 mai, à 19 h,

projection de Les Autres (Los Otros), d’Hugo Santiago (1974, 90 ‘)

Avec la participation de Jean-Pierre Zarader.

Adolfo Bioy Casares et Jorge Luis Borges, qui apparaissent à l’écran au début, co-signèrent avec Hugo Santiago ce film proprement vertigineux,

où un père venge son fils mort en remontant dans son passé et en jouant plusieurs personnages.

Film _ important ! _ sur le cinéma,

l’œuvre montre une réalité construite comme un jeu de miroirs aux identités brouillées.

Le mercredi 6 juin à 19 h,

projection de L’Unique, de Jérôme Diamant-Berger (1986, 85 ‘)

Avec la participation de Jérôme Diamant-Berger.

Julia Migenes, Charles Denner, Tchéky Karyo et Sami Frey se donnent la réplique dans un film surprenant par ses effet spéciaux et son questionnement sur les hologrammes.

Peut-on communiquer avec un double, avec son double ?

Quelle médiation « l’image vivante » peut-elle opérer entre les humains ?

 Et aussi, lundi 9 avril à 19 h :
la conférence intitulée Vivre au milieu des images, de Thierry Dufrêne.
Aujourd’hui nous vivons au milieu des images : Facebook, Instagram, selfies, bases de données, etc.
Nous échangeons avec les images des êtres souvent davantage qu’avec les êtres eux-mêmes…
Mais qui sont vraiment ces êtres d’images, ces entités visuelles, ces extensions de nous-mêmes qui nous font face sur nos écrans 
et qui s’animent en hologrammes ?
Il y a environ 80 ans, Adolfo Bioy Casares posait déjà toutes ces questions dans son livre-météore L’Invention de Morel (1940).
Cette rencontre avec le commissaire de l’exposition reviendra ainsi sur l’actualité proprement fascinante de l’œuvre de l’écrivain argentin qui a tant inspiré, donc, l’art contemporain.

Elle s’inscrit également dans le cadre du cycle de rencontres mensuelles autour de l’art contemporain latino-américain L’Œil pense à la Maison de l’Amérique latine,
et organisé conjointement avec l’IESA (Ecole Internationale des Métiers de la Culture et du Marché de l’Art).
Maison de l’Amérique latine 

217 Boulevard Saint-Germain 75007 Paris

Tél. : 01 49 54 75 00

www.mal217.org

Ce mercredi 21 mars, Titus Curiosus – Francis Lippa

P. s. :

voici le lien à la vidéo de la cérémonie d’entrée des archives d’Adolfo Bioy et Silvina Ocampo à la Bibliothèque Nationale argentine,

communiquée par mon cousin _ désormais bayonnais _ François Bioy,

et que j’ai transmise, le 27 novembre dernier, à mes amis René de Ceccatty (ami d’Alfredo Arias) et Silvia Baron Supervielle ;

qui l’a communiquée à son tour à sa sœur aînée, à Buenos Aires :

ni Silvia, à Paris, ni sa sœur à Buenos Aires, n’étaient au courant de cette donation d’archives,

si importante pour les Lettres argentines…

Entretiens

et connexions _ dont ce blog trop discret… _ 

avec les auteurs d’œuvres vraies _ et non promises à l’obsolence du commerce du tout venant _

est la très ambitieuse _ ou noble, car à fonds perdus _ passion de ma vie.

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