Posts Tagged ‘simplicité

Partage d’enthousiasme pour cette merveille qu’est le coffret des 3 CDs de l’Intégrale des Mélodies pour voix seule de Gabriel Fauré par Cyrille Dubois, ténor, et Tristan Raës, au piano

06août

Le 3 juin dernier,

dès mon achat du coffret « Complete Songs » de 3 CDs des Mélodies pour voix seule de Gabriel Fauré, par le ténor Cyrille Dubois, et son complice attitré au piano Tristan Raës, pour le label Aparté _ AP284 _,

je n’ai pas ménagé mon enthousiasme

en mon article « « 

Or voici que ce 6 août 2022, sur le site de ResMusica,

Matthieu Roc exprime à son tour son parfait enthousiasme

en un superbe article intitulé, lui, « Dans son Intégrale des Mélodies de Fauré, Cyrille Dubois surclasse tous ses prédécesseurs » :

on ne saurait mieux dire !!!

Voici donc cet article

dont je partage pleinement la satisfaction pour le travail éblouissant, et si simple et évident à l’écoute, de Cyrille Dubois et Tristan Raës :

Le duo ristan Raës et Cyrille Dubois a déjà montré de quelles merveilles il était capable, dans Boulanger et dans Liszt _ 2 CDs dans lequel j’ai personnellement pu, moi aussi, les admirer : cf mes articles du 2 mars 2020 « «  et du 25 novembre 2019 : « «  Chanter Fauré n’était pas sans risque, mais avec tant de talents et de simplicité _ voilà _, la réussite est encore une fois éclatante.

Ce n’est _ certes _ pas la première intégrale des mélodies de Fauré, ni même la première à être entièrement chantée par des artistes français ou francophones « native speaker ». Mais c’est la première à être confiée entièrement à un seul chanteur _ voilà ! _, au risque de quelques discrètes transpositions, qui ne dérangeront pas _ du tout _ les mélomanes. Le choix d’une présentation en trois concerts, un par CD, avec une progression chronologique interne est adroite, et permet d’éviter le didactisme. Mais c’est un peu une précaution inutile : le charme de cette interprétation est tel qu’en écoutant chaque mélodie, on en oublie laquelle vient avant ou après, et même qui l’a déjà chantée, tant est bluffant le « miracle Cyrille Dubois » _ c’est dit !

Il faut expliciter ce miracle… On connait toutes les qualités conjuguées du ténor et du pianiste. L’émission claire et simple du premier (pas opératique du tout _ en effet… ; et c’est bien sûr très heureux ici… _), la délicatesse _ discrète comme il sied _ du second, la fluidité _ oui ! _ de leurs phrasés conjoints, la douceur des timbres _ oui, oui ! _, le raffinement _ parfait _ de leurs couleurs et de leurs nuances, tout cela confère aux mélodies une transparence totale _ d’un naturel parfait ! _ : transparence des lignes, transparence des textures, et transparence du texte _ soit l’idéal de la clarté française ! Tout est fin, tout est clair, tout est évident _ exactement… Les impressions, les climats se créent avec justesse _ comme il le faut absolument ! _ dans chaque mélodie et dans chaque cycle. Mais ce qui est qui est porté à un niveau exceptionnel, c’est la diction _ oui _ de Cyrille Dubois. Sans jamais être ni surarticulée, ni floutée, ni affectée _ en rien, jamais _ , elle restitue à l’oreille de l’auditeur une immédiateté de perception _ et intelligence, et saveur idéale _ des textes admirables de Verlaine, de Renée de Brimont, de Sully Prudhomme, etc. Cette immédiateté a la vertu de recentrer complètement le texte au cœur de chaque mélodie _ voilà _, au cœur de notre émotion _ aussi _, qui devient alors autant littéraire que musicale _ parfaitement. Fini, l’ _ insupportable et rédhibitoire _ effort de l’auditeur pour comprendre un texte qui se surimprimerait à la musique : il apparait immédiatement. Souvent même, on a l’impression que la prosodie de la poésie engendre la musique _ oui… _ au moment-même qu’on l’écoute (Au bord de l’eau ! Lydia !) _ et c’est dire là tout le suprême de l’art de mélodiste de Gabriel Fauré lui-même... Ça, personne encore ne nous l’avait donné, avant Cyrille Dubois et Tristan Raës.

C’est donc avec joie, et même un certain étonnement, que nous redécouvrons _ voilà _ les mélodies de Fauré et les poésies sur lesquelles elles ont été bâties. Les Cinq mélodies « de Venise » et le Clair de Lune de Verlaine expriment à merveille le sentiment amoureux et tous ses sous-entendus d’espoir et d’angoisse. Le lyrisme contenu mais rempli de tendresse de La bonne chanson fait mouche, lui aussi. La luxuriance virginale de La chanson d’Eve, et sa prémonition de la mortalité à venir sont magnifiques _ rien moins ! Tout n’est pas élégiaque, et notre tandem est capable d’emportement, voire de violence dans Fleur jetée. La douleur du lamento de T. Gautier Chanson du pêcheur est glaçante de désespérance. Après un rêve, plus extatique qu’érotique, est riche comme jamais de seconds degrés ambigus. Les célèbres Berceaux, apanage des grandes voix sombres (Denise Scharley, José Van Dam…) qui savent y donner les échos d’une tragédie intense, trouvent ici une distanciation au-delà de l’émotion, mais d’une empathie extraordinaire _ voilà. Une lecture différente, mais tout aussi prenante.

Aucune des 103 mélodies de Fauré n’échappe à ce ré-éclairage, à cette revitalisation littéraire et délectable _ oui _ opérée par Cyrille Dubois et Tristan Raës. C’est toute l’intégrale qui est ré-authentifiée, comme si elle était chantée pour la première fois dans _ l’intimité chaleureuse et hyper-attentive de _ notre salon _ tout à fait. Certes, on pourrait trouver quelques très rares et minuscules reproches techniques à leur faire. Certes, ils ne nous feront pas oublier Régine Crespin, Berthe Montmart… Maurane, Souzay, Panzéra… Mais parmi les très honorables intégrales gravées existant déjà – et qui recèlent d’authentiques trésors – il est évident qu’ils occupent désormais la toute première place _ oui _, et sans doute pour longtemps. Dans le monde richissime mais toujours peu fréquenté de la mélodie française, c’est un évènement, si non un avènement _ c’est là parfaitement exprimé.

Gabriel Fauré (1845-1924) : intégrale des mélodies.

Cyrille Dubois, ténor ; Tristan Raës, piano.

3 CD Aparté.

Enregistrés en juillet et aout 2020, et en juin 2021, salle Colonne à Paris.

Présentation en anglais et en français.

Textes des poèmes français fournis, avec traduction en anglais.

Durée totale : 3h 52′

Un événement discographique majeur, donc, que ce coffret si idéalement réussi des Mélodies de Fauré

par l’art parfait de Cyrille Dubois et Tristan Raës !

Ce samedii 6 août 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

 

En avant-propos à ma lecture commentée à venir du « Journal 2008-2018 _ Car vous ne savez ni le jour ni l’heure » de Jocelyne François, un Hors-série (n°4) de la Revue de littérature « Les Moments littéraires », ce message de réception adressé au préfacier, René de Ceccatty…

17mai

Simplement,

ces deux courriels suivants _ le premier à 14h 33 ; et le second à 19h 43 _

adressés ce jour à l’ami René de Ceccatty,

préfacier du « Journal 2008-2018 _ Car vous ne savez ni le jour ni l’heure » de Jocelyne François, un Hors-Série de la Revue de Littérature « Les Moments littéraires« ,

suite à l’inattendue réception ce jour, à la Librairie Mollat, de ce volume,

nommément destiné, par le Directeur de cette Revue, Gilbert Moreau, à Francis Lippa…

« Cher René,

 
De passage, en coup de vent, ce matin, chez Mollat _ pour m’enquérir de l’arrivée, ou pas, de CDs commandés _,

je croise Pierre Coutelle, qui me demande si je suis au courant _ non, je ne le suis pas _ de l’arrivée chez Mollat (le 9 mai) d’un envoi qui m’est destiné, de la part des Éditions _ ignorées de lui !, me dit-il… _ « Les moments littéraires » (le cachet de la poste sur l’enveloppe est daté, lui, du 5 mai).
 
Et il me remet le paquet, sans même attendre que je découvre son contenu ; et que je lui révèle…
 
Il s’agit du « Journal 2008-2018 » de Jocelyne François,
que j’ouvre vite, pour y découvrir, en tête, une préface signée de toi…
Et voilà que je viens de lire cette Préface de 14 pages, intitulée « Pureté et vérité« ,
comprenant vite les raisons littéraro-existentielles qui me font, comme tu l’as senti, un lecteur tout indiqué de ce que dit « cette voix » assez rare et tout à fait singulière, en effet, de Jocelyne François :
« pureté et vérité », « termes limpides et directs », « mots simples, directs, évidents, sans lyrisme, sans sinuosités, sans afféterie », « accent de vérité, de simplicité », « fermeté et luminosité, sans une once d’ambiguïté, sans mauvaise foi, sans théâtralité », « une retenue réflexive et directe en même temps », « les prises de conscience cinglantes et concises », « concision et vivacité assorties d’une relative nonchalance », « visant le cœur de la sincérité », « elle veut, avec un mélange de détermination pensée et d’innocence spontanée, mettre noir sur blanc ce qui est pour elle devenu une évidence, ou au contraire un mystère entier que rien ne pourra résoudre », « le souci de vérité, l’absence de pose aussi, l’absence de vanité et de fard »…
Et c’est bien en effet de cette forme de justesse (et nécessité, voire urgence)-là que je suis demandeur à un livre ;
de même qu’à une personne avec laquelle je vais me trouver en situation d’interlocution attentive et suivie, un tant soit peu approfondie.
Cf aussi mon texte de 2007, retrouvé en 2016 :
Je vais donc lire ce Journal de Jocelyne François avec la plus grande attention…
Merci beaucoup, cher René,
Francis« .

Et puis, ce second courriel :

« Ce jeu d’adresses _ René de Ceccatty m’ayant entretemps informé qu’il avait donné mon adresse personnelle à Gilbert Moreau ! _ est plutôt amusant pour moi…

Cela me permettra d’adresser l’article que j’écrirai, à Pierre Coutelle…
Plus intéressant : l’écriture de Jocelyne Francois me plaît bien ;
de même que son tempérament, que tu cernes excellemment dans ta préface…
Le seul élément qui me reste un peu « exotique » est son côté boutique, gens-de-lettres _ souci éditorial… Même si c’est sans la moindre vanité de sa part…
Mais il faut assurément convenir que l’encre sur le papier constitue une trace qui, de fait, demeure _ et demeurera au moins un moment, au-delà de l’existence mortelle de la personne de l’écrivain… _ ;
et que le livre de papier nourrit très substantiellement, ensuite, du moins un certain temps, les vrais lecteurs _ de ce bien aventureux « message in the bottle« 
De même que d’autres œuvres en diverses autres matières que cette frêle encre sur ce fragile papier.
Et je leur suis personnellement très attaché…
La présence de ces œuvres ainsi transmises, nous tient ainsi fidèlement compagnie, et nous parle, entretient de vrais dialogues avec nous qui nous y intéressons un moment, un peu hors du passage du temps des horloges, à travers le passage fugace des jours, ceux des choses comme ceux des personnes.
Et les auteurs de ces œuvres peuvent ainsi continuer de très audiblement nous parler, converser avec nous, pour peu que nous écoutions et regardions vraiment ces traces de leus voix qui demeurent un peu ainsi spatio-temporellement…
Pour peu que nous nous entretenions vraiment substantiellement avec eux. En une vraie vie : une vie vraiment vraie.
À suivre !
Francis »

Ce mardi 17 mai 2022, Titus Curiosus – Francis Lippa

Le plaisir partagé d’un éditeur de disques de voir ses enregistrements reconnus et célébrés : Eric Rouyer (Le Palais des Dégustateurs) , pour le double CD des Trios avec piano de Schubert, par Robert Levin, Noah Bendix-Balgley et Peter Wiley

07juil

L’éditeur des superbes CDs du Palais des Dégustateurs, Eric Rouyer,

m’a fait partager sa joie de voir son double CD PDD021 des Trios avec piano de Schubert par Robert Levin, Noah Bendix-Balgley et Peter Wiley,

reconnu « Révélation Juillet-Août 2021 » par le magazine Gramofon, en Hongrie…

http://www.gramofon.hu/archivum/nemes-egyszeruseg-es-csendes-nagysag

Les Trios de Schubert version Robert Levin/ Noah Bendix-Balgley/ Peter Wiley : révélation Juillet-Août en Hongrie par Gramofon, que le Dr Balàcs Zay considère comme la plus grande interprétation de l’histoire du disque, devant Jacques Thibault / Alfred Cortot / Pablo Casals, et même celle avec David Oistrakh, qui sont « correctement romantiques et férocement engagées » par rapport à la pureté et l’élévation de l’interprétation, la simplicité noble et la grandeur tranquille du coffret du label Le Palais des Dégustateurs. 
L’unique version que l’on peut qualifier d’exceptionnelle.
Enregistrement effectué au Couvent des Jacobins de la Maison Louis Jadot à Beaune. 

Bravo !


Ce mercredi 7 juillet 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Un Rameau tout simplement idéal de Justin Taylor, en merveilleux « esprit de la danse », ou l’enthousiasmant CD « La Famille Rameau »…

23mai

Saisir l’idiosyncrasie de la musique française, est sans doute une gageure pour tout interprète,

que ce soit au concert, ou au disque…

Voilà ce que vient tout simplement de réussir, et à la perfection, en son CD « La Famille Rameau » _ le CD Alpha 771 _ le jeune Justin Taylor !

Rameau, ou l’esprit de la danse,

en toute son inventive variété.

Délicatesse, fluidité, refus des maniérismes et pesanteurs…

Vivacité heureuse.

Ce que le génial Rameau a réussi en son écriture sur la partition,

l’interprète doit réussir à le saisir et l’incarner en son jeu,

que l’ingénieur du son, le toujours parfait Hugues Deschaux _ il y a maintenant bien longtemps que je l’ai vu à l’œuvre pour Jean-Paul Combet (et Alpha)… _, doit aussi retenir et rendre, à l’enregistrement ;

avec l’indispensable concours, aussi, bien sûr, de l’instrument : ici le magique clavecin Donzelague du château d’Assas !

À titre d’exemple,

voici ce qu’en chronique un des membres de l’équipe de Res Musica en son article du 3 mai dernier, au titre simplement un peu trop anecdotique, « Justin Taylor recompose la famille Rameau au clavecin« …

L’écoute commentée des pièces de Jean-Philippe Rameau qu’a choisies l’interprète, me paraît, en effet, d’une très bonne justesse…

Et mieux encore,

voici une vidéo (de 4′ 08) de Justin Taylor interprétant Les Tendres Plaintes, sur le Donzelague, au château d’Assas.

Justin Taylor _ en Ariel ailé du clavecin _

et Rameau

sont de merveilleux parfaits pourvoyeurs de joie,

à la française…

Ce CD repasse en boucle sur ma platine, et j’en redemande à chaque fois…

L’esprit _ le plus enthousiasmant _ de la danse nous emporte !

Avec toute la délicatesse de son infinie variété, jamais répétitive _ ni, a fortiori, mécanique…

Ce que Debussy avait, l’oreille très fine, lui aussi, su parfaitement repérer dans l’œuvre de Rameau…

Ah, cet unique, et si délectable _ si simple et immédiatement sensible en sa merveilleuse complexité _, goût français !

Ce dimanche 23 mai 2021, Titus Curiosus – Francis Lippa

Lili Kraus, ou la « perfection qui désigne ce qu’est le style même de la musique de Mozart »…

13sept

Sous le titre de  »La grande Lili« ,

ce dimanche, Jean-Charles Hoffelé, en son site Discophilia,

fait l’éloge de la perfection mozartienne _ qui fait grand bien ! _ de Lili Kraus :

« une perfection qui désigne ce qu’est le style même de la musique de Mozart« , conclut-il, excellemment, son article,

à propos du CD St-Laurent Studio YSLT-940,

consacré à 2 Concertos _ et une sonate : la sonate n°12 en Fa majeur, K. 332 _ de Mozart,

le n°9, en Mi bémol majeur, K. 271, dit Jeune homme, et le n°12, en La majeur, K. 414,

avec Jean Fournet et Manuel Rosenthal…

Voici donc cet article mozartissime :

LA GRANDE LILI

À la fin, elle qui jouait Bartók et Beethoven, Mozart lui aura été mieux que son compositeur chéri, un autre soi-même _ probablement : elle le vivait… _, et ses Concertos enregistrés modestement à Vienne, avec un orchestre modeste et un chef modeste, le pain quotidien.

D’ailleurs qu’une formation symphonique l’invitât, ce serait Mozart, toujours, et ce dès les années cinquante alors qu’à Paris l’étiquette blanche des Discophiles Français l’avait établi mozartienne absolue, seule à son piano, ou avec ses camarades viennois, Boskowsky et Huebner.

Son Jeunehomme sans façon _ voilà _ rappelle qu’elle jouait Mozart avec fièvre, en grand déploiement (et toujours en aussi beau son, précis, porté loin, comme celui d’une voix bien placée et naturellement expressive) _ voilà. Rien ne s’y force, tout y rayonne _ comme il se doit ! _, rien ne s’y cherche, tout au contraire est trouvé _ voilà, voilà ! _, le giocoso de l’Allegro, la mélancolie douloureuse de l’Andantino, et les espiègleries du Finale où les doigts volent.



Et comme Fournet lui accompagne cela!, réglant l’orchestre au cordeau, ce que ne fera pas Rosenthal pour le la majeur, plus distant, plus propre, mais peu importe, qu’elle entre seulement et dès les premières notes c’est elle qui dirige, emportant l’œuvre au grand air, en faisant une sérénade, et des plus vives.

Au final Rosenthal se rattrapera, faisant danser son orchestre lui aussi, et Lili d’y caracoler, l’air de rien, sous un crinoline de traits, merveille !, que prolonge encore une Sonate en fa majeur confiée aux micros de la Radio Nationale, tendre et impérieuse à la fois _ voilà _, jouées avec des ombres, des accents, des contre-chants qui semblent venir d’un autre temps et pourtant si classiques, si mesurés, une perfection qui désigne ce qu’est le style même _ oui _ de la musique de Mozart.

LE DISQUE DU JOUR

Lili Kraus Edition – Vol. 1

Wolfgang Amadeus Mozart(1756-1791)


Concerto pour piano et orchestre No. 9 en mi bémol majeur, K. 271
« Jeunehomme »

Concerto pour piano et orchestre No. 12 en la majeur, K.414/385p
Sonate pour clavier No. 12 en fa majeur, K. 332

Lili Kraus, piano
Orchestre National de la R.T.F
Jean Fournet, direction (K. 271)
Manuel Rosenthal, direction (K. 414)

Un album du label St-Laurent Studio YSLT-940

Photo à la une : la pianiste Lili Kraus – Photo : © DR


De cette si simple merveilleuse évidence

_ de très grand art, mais parfaitement discret, forcément, en sa jubilation rayonnante _

merci, madame…

Ce dimanche 13 septembre 2020, Titus Curiosus – Francis Lippa

Chercher sur mollat

parmi plus de 300 000 titres.

Actualité
Podcasts
Rendez-vous
Coup de cœur